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i, pour comble, que le livre d’images que l’on me
proposait
de composer existait bel et bien, et que c’était un chef-d’œuvre : Ci
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a fiction quant aux leçons d’avenir qu’elles nous
proposent
, et qu’elles peuvent suggérer à l’Europe.
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e l’Europe en vue de renouveler les croisades, il
propose
de fédérer un très grand nombre de royaumes, principautés ou républiq
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traits de famille des Suisses modernes, que je me
propose
de commenter plus tard. Mais gardons-nous de l’anachronisme qui nous
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ence, leur goût du compromis, leur empressement à
proposer
des arbitrages. C’est finalement la nature même de leurs alliances —
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compter et jauger les membres virtuels de l’union
proposée
. Or, on a vu que Pierre Dubois, en 1306, ne connaissait encore aucun
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ent certains objectifs nouveaux qui les amènent à
proposer
des lois et quelques révisions de la Constitution dans le sens généra
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et le rejet de plus en plus fréquent des mesures
proposées
par l’État fédéral. L’hostilité instinctive du citoyen aux pouvoirs c
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ulé Organisation d’une Société d’États européens,
propose
à toute l’Europe un régime fédéral inspiré de l’exemple suisse ; ce q
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er qu’on discute sur le mérite propre des mesures
proposées
et non pas, comme on ferait en France, sur les incidences partisanes.
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a Suisse à l’abri des options dramatiques que lui
proposent
quelques reporters étrangers, ou de rares intellectuels, suisses il e
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plication de la loi. Ce délai permet au peuple de
proposer
éventuellement un référendum. 4° Au cas — somme toute peu fréquent —
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new-yorkaise, où personne ne vous voit jamais, me
propose
par contraste une réponse. C’est qu’en Suisse on se sent regardé, exa
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fait copernicien : au début, il y a Saussure qui
propose
une méthode permettant d’espérer que les sciences humaines pourront u
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ions de francs. La même année, le Conseil fédéral
proposait
et les Chambres votaient un budget militaire s’élevant à 1264 million
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uvient d’une subvention de l’État dont le montant
proposé
s’élevait environ à un cinquante-millième du prix de ces Mirages116,
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taires, imaginatives, physiques et poétiques. Je
proposais
une instruction non pas même privée mais secrète. Je nageais en plein
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lorsqu’il déclare, du haut de la chaire, qu’il se
propose
d’expliquer la doctrine chrétienne en se basant sur les documents ori
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me que ses doctrines soient enseignées. Mais il a
proposé
aux Suisses la forme de religion qui convenait le mieux au tempéramen
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t les leurs. Mieux vaudrait donc, me semble-t-il,
proposer
que les Suisses s’élèvent à la hauteur de leur régime fédéraliste, do
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demain les Mirages. Cependant le Conseil fédéral
propose
aux Chambres de tripler la dotation du Fonds national de la recherche
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Européens vont choisir. Trois formules leur sont
proposées
, et sont en principe concevables. a) L’Europe des États (faussement d
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Grands » la souhaite. Et personne en Europe ne la
propose
: il est trop clair que cette formule totalitaire mais sans doctrine
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e possible pour nous comme pour l’Europe — qui la
propose
? Les Suisses devant le projet d’union de l’Europe La Suisse es
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smes de notre vie civique : il n’hésite pas à les
proposer
en modèle pour l’édification de l’Europe. Selon lui, la « nationalité
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1948. De La Haye naît le Mouvement européen, qui
propose
et obtient en neuf mois la création du Conseil de l’Europe. L’impulsi
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ont aucune espèce de chances d’être écoutés s’ils
proposent
de renoncer à la neutralité : c’est devenu, dans la Suisse moderne, u
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ce qu’on nous offre cela, si nous, Suisses, ne le
proposons
pas. Mais quant aux chances que nous le proposions… Tout le débat sur
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proposons pas. Mais quant aux chances que nous le
proposions
… Tout le débat sur l’idée européenne paraît tourner dans notre presse
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le de fonctionner d’une manière autonome, et l’on
propose
en France le chiffre de six millions : il coïncide, par hasard, et po
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’Europe unie sera sans doute un fait accompli, je
propose
mon dessein raisonnable d’un avenir possible de la Suisse. En voici l
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oulaient rien être dans l’Union, les voilà qui se
proposent
comme pays-capitale ! Leurs hôteliers n’y perdraient rien. Les foncti
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par la fameuse question de Napoléon quand on lui
proposait
un candidat à quelque promotion civile ou militaire : « Est-il heureu