1 a culture Qu’est-ce qu’un problème ? Je me propose d’envisager dans cet ouvrage le problème de la culture. Lorsque l’on

2 aucoup plus important que les solutions qu’on lui propose . Ainsi le problème de la culture. Quelqu’un demande : à quoi sert-ell

3 itiques, tels sont les ersatz pitoyables que nous proposent l’Argent et l’État. Giovinezza ! Tod den Juden ! Nous ferons mieux qu

4 de la vie, sous la même loi supérieure de la fin proposée par le socialisme. » Il faut alors définir la culture comme « une for

5 immense caricature ; et que les fins qu’elle lui propose ne valent pas le prix qu’on les paye. Mais, d’autre part, il ne peut

6 ction : la mesure pseudo-marxiste que les Soviets proposent en exemple s’est avérée, après quelques années, incapable de mainteni

7 e la faim ou de la liberté ; il a suffi qu’on lui propose , souvent sans preuve, un grand mythe de communauté : nation unie, ou

8 de son repos. « Si c’est avec tes mains que tu te proposes de penser, que vas-tu faire de ton cerveau ? », nous dit ce bon espri

9 ective, sérieuse, c’est ce que nos grandes écoles proposent comme idéal à leurs élèves, dans un ordre de choses, on le sait, où l

10 té de l’appareil qui est néfaste ? Je ne vais pas proposer d’impossibles « retours » à la naïveté créatrice, à l’improvisation g

11 t personnel et réfléchi. (Au lieu de cela on nous propose partout des engagements collectifs et sentimentaux !) Il faut que le

12 ement si, dans nos conditions, ce nous qu’on nous propose pourrait être autre chose qu’une moyenne entre le je des libéraux et

13 procher que par la voie des négations. Nous avons proposé une dialectique critique dont les deux termes négatifs sont évasion e

14 de son train-train, etc., tel est le rôle que se propose de poursuivre (sic) cette collection. » 97. Claudel (Art poétique, C

15 en à base de régions (et non d’États-nations) qui propose le modèle d’une société nouvelle : elle aurait pour finalité non la c