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tement se déduisent presque inévitablement de ces
propositions
. Le civisme c’est prendre ses responsabilités ; c’est agir en homme l
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ien Benda ; nul projet politique ; pas la moindre
proposition
ni de doctrine ni d’action. Il s’agit uniquement, pour l’auteur, de d
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urs vues sur l’Europe et même l’identité de leurs
propositions
; c’est leur opposition, déclarée dans les mêmes termes, aux partis c
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et c’est enfin la convergence frappante de leurs
propositions
pour l’union de l’Europe, et cela qu’ils se disent de gauche ou de dr
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res nationales. » Ce qui rejoint les positions et
propositions
défendues dans toute la suite de nos études sur l’Europe et les régio
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et liberté (AFSL) qui insiste sur le fait que ses
propositions
sont « par nature et par définition, de caractère européen, et non pa
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dans leur pays, mais ils sont unanimes dans leurs
propositions
européennes, et ceci corrigera cela, si les partis classiques persist
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nation — terme d’ailleurs lancé par lui — dans la
proposition
aujourd’hui bien connue : « Trop petit et trop grand à la fois. » En
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e qu’il ne sera pas le dernier. Je vais faire des
propositions
précises pour une continuation indéfinie de ce genre de rencontres. J
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l que vous connaissez. Il y a eu toutes sortes de
propositions
. M. Boldizsar a proposé « dialogue multilatéral », mais il n’était pa
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e et culturelle, mais sans autres pouvoirs que de
propositions
, et la seconde à vocation unique, économique, mais dotée de quelques