1 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
1 t obligé de quitter le comité si l’on adoptait ma proposition . Je compris par la suite que ce haut fonctionnaire tenait le fédérali
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
2 re les cantons étouffaient l’économie. Mais toute proposition de pacte fédéral plus étroit se heurtait au veto des cantons, jaloux
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
3 ionales multinationales à l’échelle de l’Europe —  propositions proprement impensables pour un esprit français, il y a dix ou vingt a
4 , croit, sans la moindre discussion, une série de propositions axiomatiques de ce genre : — L’État doit être unique et indivisible44
5 e sa science constitutionnelle », je trouve cette proposition  : Organiser en chaque État fédéré le gouvernement d’après la loi de