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lective. La population s’accroissait, le commerce
prospérait
, l’industrie naissait, les radicaux triomphaient partout. Il était te
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ivra sans doute : c’est que la culture n’a jamais
prospéré
que dans les lieux où le loisir est cultivé, — et non pas méprisé ou
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lective. La population s’accroissait, le commerce
prospérait
, l’industrie naissait, les radicaux triomphaient partout. Il était te
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rtant, aucune société n’a jamais pu développer et
prospérer
sans une foi commune, sans des prophètes qui lui montrent les voies d
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vu la peinture, la poésie, la musique et la danse
prospérer
sous toutes sortes de tyrannies, souvent en dépit d’elles, mais parfo
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Cette analyse, devenue à son tour lieu commun, a
prospéré
depuis, par une ironie noire, mais sans porter remède au mal. Je lui
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états, républiques et monarchies indifféremment,
prospèrent
par cela seul qu’ils sont petits, que tous les citoyens s’y connaisse
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sée nuise à cette unité de culture qui ne saurait
prospérer
que dans la diversité : tout ce qu’il dit de l’Allemagne, ici, s’appl
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e-même de son propre destin. S’unir pour vivre et
prospérer
: telle est la stricte nécessité devant laquelle se trouvent désormai
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Sous le règne de Victoria les lettres et les arts
prospèrent
, les intellectuels s’humanisent, les grands noms deviennent des préno
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s Nations. On peut y lire : S’unir pour vivre et
prospérer
: telle est la stricte nécessité devant laquelle se trouvent désormai
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me étatique. Dans les cadres de l’État-nation ont
prospéré
l’industrie, l’affairisme, le gigantisme urbain, l’école obligatoire
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malheurs du genre humain… Presque tous les États
prospèrent
par cela seul qu’ils sont petits, que tous les citoyens s’y connaisse