1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 ent à cristalliser et à maintenir, en cet endroit précis de l’Europe, des institutions conformes à l’esprit du vaste mouvement
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
2 celle de « fédéraliste », et cela pour une raison précise  : c’est qu’elle représente une synthèse des autonomies locales et de
3 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
3 fonctionnaires 3,8 (4,5 en 1912). Trois exemples précis vont nous faire entrevoir la complexité et les écarts extrêmes que ca
4 ral, l’élève suisse acquiert plus de connaissance précises que l’américain, et ne souffre pas du « gavage » intellectuel dont se
4 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
5 ale, s’ajoute en Suisse une cause historique très précise . Les fondateurs de la Confédération moderne, c’est-à-dire les radicau
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
6 er, le Suisse particularisé de la manière la plus précise — de même que son pays est compartimenté — et congénitalement méfiant
7 e de cette attitude. Il faut remonter à l’origine précise de la première alliance fédérale : le Gothard, « montagne qui sépare
8 même volonté de se réserver pour certaines tâches précises et réalisables, et de ne point sacrifier le principe vital de la neut
9 nt l’heure de se montrer fidèle à ses obligations précises . En ce milieu du xxe siècle, elle lutte pour préserver au cœur du co