1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 charnel, on l’accepte avec toute la nature, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’herbe grasse, écrasé par son sac, l’h
2 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
2 une plus grande masse de machines. Et beaucoup de préjugés aussi. Et parfois la crainte vague de perdre une liberté dont nous ne
3 1946, Journal des deux mondes. Virginie
3 t franc. Chacun souhaite que l’épreuve balaye les préjugés qui nous encombraient l’âme, paralysaient le cœur, faussaient l’intel
4 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
4 uifs n’étaient pas désirés. Des lois « contre les préjugés de race » ayant passé cet hiver dans l’État, la pancarte porte aujour
5 ette contrée, et la rigidité de sa morale, de ses préjugés séculaires. Il me semble avoir lu parfois que l’Amérique est un pays
6 e en Amérique, et c’est fort bien : on ne tue les préjugés que par le ridicule ; quand on les tue. Mais le fait que notre ami l’
7 t, ne fût-ce que par l’irritation instantanée des préjugés qu’il provoque pour peu qu’on l’énonce. Quelques-uns des Américains q