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r « le vin herbé » destiné aux époux, et qu’avait
préparé
la mère d’Iseut. Ils le boivent. Les voici entrés dans les voies d’un
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Iseut pouvaient dire quelle est la fin qu’ils se
préparent
de toute leur volonté profonde, et plus que profonde, abyssale. Qui d
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, en cette époque précisément où l’Église de Rome
préparait
sa croisade et son Inquisition ? Mais venons-en aux textes, et consid
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dont on distingue après coup que tout semblait le
préparer
, c’est l’élection d’une âme par l’Amour tout-puissant, la vocation qu
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verselle, et le triomphe applaudi des « félons »,
préparent
les plus étranges retours. Parmi tant de facilités, de raffinements i
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je veux la mort. Seulement, tout ce que l’on fait
prépare
cette fin. Et tout ce que l’on exalte y trouve son sens réel. Il sera