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nifestation comme celle de la rue du Cherche-Midi
présente
cet avantage d’être une véritable « manifestation du régime ». Tout a
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la corruption spirituelle des loisirs est née la
présente
corruption du travail. Notre siècle ne connaît plus ni le travail ni
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Christ est le verbe incarné, la vocation toujours
présente
, la parole qu’on n’entend ni ne voit avant de l’avoir obéie dans un i
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du jour (décembre 1934)j Le surréalisme s’est
présenté
comme révolution, et comme tel il a bénéficié pendant plusieurs année
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l’Exposition. Pourvu, à côté des pavillons où se
présenteront
les grandes découvertes, de salles destinées aux chercheurs de tous l
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qu’elle est une simplification. Celle qu’on nous
présente
de l’esprit comble si bien notre paresse, et peut-être certains intér
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dernier siècle est responsable ; vu l’intérêt que
présenterait
pour l’humanité d’aujourd’hui, sans détriment du prestige de la Franc
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nt dans l’Europe d’aujourd’hui. Ce projet positif
présente
un gros défaut pratique : il conduit à poser de vraies questions séri
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out des gênes et des interdictions, mais toujours
présentées
aux masses comme les gages d’un bonheur à venir et d’une grandeur dig
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groupes organiques, c’est obéir à notre vocation
présente
, mais c’est aussi assurer pour l’avenir l’efficacité de notre action
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ses figurent dans le Cahier de revendications qui
présenta
le mouvement personnaliste à son départ, en 1932 (n° de décembre de l
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a sensibilité de l’intelligence étant, à l’époque
présente
, et en France, beaucoup plus vive et juste que celle des masses ou de
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médiocres, que quelques femmes, dans une église,
présentent
au pardon de Dieu. Il y a le refuge du rêve, tout en marchant le long
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le qui s’illustra par le surréalisme. Littérature
présente
au monde dans lequel et contre lequel elle s’édifie. Je ne pense pas
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sayons de limiter notre critique aux ouvrages qui
présentent
un sens quelconque pour notre action — soit qu’ils militent pour ou c
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« pures » de la rhétorique valéryenne. Swedenborg
présente
le cas très singulier d’un savant encyclopédique, formé aux disciplin
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u, et l’on va même parfois jusqu’à ce paradoxe de
présenter
la passion amoureuse comme le couronnement d’un hymen idéalement réal
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troisième, c’est-à-dire en maintenant sans cesse
présente
l’exigence inhumaine de perfection, comme une question perpétuelle, u
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e une vie nouvelle, où la passion ne cesse d’être
présente
, mais sous l’incognito le plus jaloux : car elle est bien plus que ro
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a sa juste place dans l’humain. Ma thèse centrale
présentée
de la sorte — n’est-ce pas assez clair dans mon livre ? — me direz-vo