1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
1 ience impossible dans laquelle s’engage Ulrich se présente d’abord à sa méditation sous la forme d’un besoin d’amour « délivré d
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
2 il nous apparaît que la forme et le progrès même présentent avec la biographie de Kierkegaard les plus frappantes analogies. Sans
3 pas une véritable vocation, en ce sens qu’elle ne présente pas le caractère d’incertitude objective lié à tout acte de foi. Haml
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
4 r il est toujours prêt, l’énergie est constamment présente en lui et le désir aussi. » Il n’étourdit pas Zerline de belles parol
5 trait en mesure de répondre. Si notre incarnation présente n’est que souffrance et illusion — souffrance à cause de l’illusion,
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
6 is voulu donner un enseignement bouddhiste, ni se présenter après coup « comme un extravagant maître du zen » ! Il n’a que faire
7 urs de l’Orient et de l’Occident. ⁂ Je ne pouvais présenter Kassner à des lecteurs dont la plupart ne l’ont pas lu, en suivant la
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
8 ction originelle, l’enfer cosmique. L’incarnation présente est notre grâce. Elle seule crée du même coup la couleur, le toucher,
6 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Misère et grandeur de saint Paul
9 fendables, voire nécessaires, mais tels qu’on les présente , sans valeur spirituelle ? En posant cette question, je n’entends pas