1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 de l’Église morave, en 1645 ; l’Essai sur la paix présente et future de l’Europe de William Penn, quaker anglais et fondateur d’
2 ser avouer qu’ils ont besoin de la guerre, ils la présentent comme une réalité inéluctable, et, pour le vérifier, déclenchent la g
3 eau texte du mémorandum écrit par Alexis Léger et présenté par Aristide Briand à la Société des Nations en septembre 1930 : la S
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
4 graphique de l’Europe, si elle était possible, ne présenterait guère d’intérêt, puisque ce ne sont pas des terres qu’il s’agit de ré
5 ire et géographie, mais histoire de l’art aussi — présentaient l’Europe comme un puzzle de nations et sa culture comme l’addition d’
6 la faveur d’exemples qui ne peuvent manquer de se présenter au cours des leçons d’histoire, de géographie, d’économie, de langues
7 se pourrait, bien au contraire, que notre culture présente des caractères nouveaux, qui déterminent un destin non comparable, et
8 l. C’est dire que notre vocation est désormais de présenter au monde, et d’illustrer d’abord par l’exemple vécu, l’art et la scie
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
9 deux cantons souverains de la Suisse, unis par la présente alliance… forment dans leur ensemble la Confédération suisse. Articl
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
10 ue. 44. Double dilemme Telle étant la crise présente de l’État-nation, le régime à prescrire paraît facile à formuler : Pa
11 récisément à propos de l’affaire des régions, mal présentée par ses fidèles. Les régions n’ont perdu ce jour-là que leurs tuteurs