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sonnalité ni d’un visage. « On peut aller jusqu’à
prétendre
ceci : les contradictions représentent si peu dans son existence que
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la certitude qu’elle vit. Filibusterie à part, je
prétends
rester européen et même bon européen, sans souhaiter, et même sans ac
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essentiels à l’homme. « On ferait œuvre inutile à
prétendre
supprimer les penchants destructeurs des hommes. » Mais peut-on les c
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it pas quelle autre partie de ce grand corps peut
prétendre
à pareille fonction ou s’y trouve à ce point prédestinée. Du seul poi
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union. S’il est vrai qu’aucun de nos pays ne peut
prétendre
à représenter valablement l’ensemble Europe devant le reste du monde,
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devant le reste du monde, aucun non plus ne peut
prétendre
à subsister par ses propres moyens, en Europe même. Le Message aux E
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ésunie marche à sa fin. Aucun de nos pays ne peut
prétendre
, seul, à une défense sérieuse de son indépendance. Aucun de nos pays
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le droit de dominer l’époque. À cette fin, chacun
prétendra
qu’il incarne « le plus haut concept de l’esprit ». L’Allemand tuera
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s on n’en voit pas d’autre qui soit en mesure d’y
prétendre
mieux qu’elle, ou qui soit susceptible mieux qu’elle d’animer la civi
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ns la mesure précise où il doute qu’il le soit et
prétend
au contraire s’identifier soit avec l’homme universel, soit avec l’ho
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s on n’en voit pas d’autre qui soit en mesure d’y
prétendre
mieux qu’elle, ou qui soit susceptible mieux qu’elle d’animer la civi
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stème compliqué de leurs « lois économiques », et
prétendent
que ces lois expriment les besoins matériels de l’homme des masses. L
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ovoquer celle-ci par ses refus intransigeants, il
prétend
se fonder sur l’amour-sentiment, succédané édulcoré, achevant ainsi d
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ant ; les uns et les autres ont tort quand ils se
prétendent
suffisants, à eux seuls. Leur dialogue est vital pour l’avenir de l’E