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terre, au xxe siècle. Ce sont eux seuls qui ont
prétendu
gérer la terre. Qui s’en sont octroyé le droit souverain. Eux seuls q
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depuis 25 ans, les ministres de nos États-nations
prétendent
vouloir faire l’Europe. Dans ces conditions nous sommes devant un dil
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ue jamais : c’est la formule de l’État-nation qui
prétend
à une souveraineté absolue, quoique perdue depuis longtemps en réalit
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s hommes, mais qui fait qu’aussitôt que quelqu’un
prétend
leur apporter une réponse, ils marchent. Ils ont marché pour Hitler,
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quoi ? Quelle abstraction politicienne ? Ceux qui
prétendent
que l’homme n’est qu’une illusion, que le sujet n’existe pas, même da
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nds… ou trop petits pour lui. Trop petits si l’on
prétend
borner son horizon spirituel aux frontières de l’État-nation ; trop g
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survenu peu après, n’est pas encore convaincu. Il
prétend
que je savais qui allait m’écrire, et que j’avais d’assez bonnes chan
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ginal) qui n’étaient nullement des États et ne se
prétendaient
nullement souveraines, mais voulaient rester autonomes, ce qui est to
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S. On enfermait ces gens et on leur disait : vous
prétendez
n’avoir jamais rien dit contre Staline mais l’autre jour dans votre s
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qui ne soient que des mini-États-nations, et qui
prétendent
imposer le carcan de frontières fixes, omnivalentes, à tous les ordre
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descendent bien moins de l’Antiquité, dont Racine
prétend
s’inspirer, que de l’amour courtois et de la passion fatale, à la Tri
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ction politique ? Étant suisse, je ne pouvais pas
prétendre
à une carrière politique en France. De plus, j’ai toujours eu horreur
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entre la pression de mouvements idéologiques qui
prétendent
parler au nom de l’opinion, et la réaction de quelques hommes d’État
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non moins « nationaux » que les autres, mais qui
prétendent
parler au nom de la Paix. Le Congrès de l’Europe à La Haye restera la
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sant de définir le pouvoir, Jeanne Hersch n’a pas
prétendu
faire beaucoup plus que tous les auteurs, qui ont essayé cette défini