1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). Contribution à une recherche éventuelle sur les sources de la notion d’engagement de l’écrivain (printemps 1978)
1 fait, du verbalisme électoral. Les intellectuels prétendent « entrer dans l’action », et cela se traduit par de généreux manifest
2 rée ses propres risques et périls, si libéral que prétende être le régime. « La supériorité véritable produit elle-même la provi
2 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
3 s la mesure précise où il doute qu’il le soit, et prétend au contraire s’identifier soit avec l’homme universel qu’il imagine,
3 1978, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
4 Europe fédérée, dont on feint de redouter qu’elle prétende « uniformiser » les diversités nationales (entendez : stato-nationale
4 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
5 fins dernières au nom desquelles les totalitaires prétendent justifier ces crimes. Un auteur qui se révèle incapable de saisir la
6 eu près tout de la vraie nature — religieuse — du prétendu « socialisme national » d’Hitler, et de ses profondes analogies avec
5 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
7 ne participation réelle à la vie politique qu’ils prétendent monopoliser. Ils sont trop petits pour se défendre seuls, même avec l
8 nvoquer à leur tour : les juristes des Pays-Bas «  prétendent qu’un accueil de missiles américains constituerait une violation de l
9 foi, qui limiterait l’absolu de sa Souveraineté. Prétendre que l’on veut l’Europe des nations, l’Europe des États, voire l’Europ
6 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
10 ésunie marche à sa fin. Aucun de nos pays ne peut prétendre , seul, à une défense sérieuse de son indépendance. Aucun de nos pays
11 — leur point de rencontre à l’infini — ne saurait prétendre à conduire une politique européenne, à invoquer, et d’abord à faire n