1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 part, de fort savantes réfutations de tout ce qui prétend l’expliquer. « Il est également impossible — écrit un de nos professe
2 de l’arianisme. Certains ne vont-ils pas jusqu’à prétendre qu’elle fit en Occident des millions de fidèles secrets, malgré la tr
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
3 ue l’agent le plus efficace de la passion qu’elle prétendait guérir. D’où la tension inégalée de ce « théâtre du devoir » — comme
4 isante, éthique et mystique du « parfait » — l’on prétend s’enfoncer dans le flot primitif de l’instinct, dans le larvaire, dan
3 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
5 r l’adultère. Certes, la pure doctrine cathare ne prétendait pas légitimer la faute en soi, puisqu’au contraire elle ordonnait la
6 st la négation pure et simple du mariage que l’on prétend fonder sur lui. C’est qu’on ne sait pas au juste ce qu’est l’amour-pa
7 lle. Or la dictature hitlérienne, du fait qu’elle prétendait se fonder sur une base raciste et militaire, devait se donner pour pr
4 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
8 ritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste qui prétendait détourner l’homme de cette voie mortelle, divinisante, en lui « prouv