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cœur même du sujet. Qu’on m’entende bien : je ne
prétends
pas annexer ici la Réforme à la cause personnaliste. Bien au contrair
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rsités organiques. Par exemple, Calvin n’a jamais
prétendu
unifier les constitutions ecclésiastiques des villes où il avait une
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x en général. Un régime est totalitaire lorsqu’il
prétend
centraliser radicalement tous les pouvoirs temporels et toute l’autor
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là encore l’esprit ne peut rien. Aussi bien, Marx
prétend
-il que l’esprit n’est qu’un reflet, un sous-produit des processus mat
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ncer l’illusion des historiens et sociologues qui
prétendaient
décrire objectivement les lois rigides de notre société. En vérité,
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ssionnels, par tous les paresseux d’esprit qui se
prétendent
réalistes. Encore faut-il — et je termine là-dessus — qu’elle ne repo
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ême il serait démontré que la Suisse ne peut plus
prétendre
à jouer un rôle analogue, croit-on que son droit à rester neutre soit
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ine politique tout à fait nouvelle en Europe. Ils
prétendent
que les nations n’ont pas toutes les mêmes droits à l’existence. Autr
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yeux, et par suite, ne veulent pas y croire. Ils
prétendent
tenir compte uniquement de ce qui est inscrit dans nos nécessités, da
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ule de la tyrannie maxima est celle de l’État qui
prétend
que ses frontières douanières et politiques soient en même temps cell
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Il y a beaucoup à faire pour que la Suisse puisse
prétendre
à jouer le rôle de germe d’une Europe nouvelle. Mais il y va de notre
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dissoudre, si l’on veut durer et surtout, si l’on
prétend
se donner en exemple. 1. Clarifions notre langage ! — Puisque le féd