1 léaire dans la production d’électricité, il faut, prévoir pour la fin du siècle, faute de pétrole, un manque de 50 % sur la qua

2 op de facteurs interviennent pour que l’on puisse prévoir scientifiquement l’avenir. Mais alors, comment l’appréhender ? En me

3 be et de l’État d’Israël. Personne n’aurait pu le prévoir , les futurologues le reconnaissent eux-mêmes. Le phénomène Hitler pri

4 ts européens, eux, n’y ont pas cru. Qui aurait pu prévoir que le club de Rome ferait ces prévisions et que les Arabes y croirai

5 partie de mon livre — est que nous n’avons pas à prévoir l’avenir, mais à le faire. La décadence d’une société commence lorsqu

6 s cas. Un exemple : les démographes du Bangladesh prévoient un taux annuel de morts par famine se traduisant par plus de 20 milli

7 e, puis politique, crise de civilisation laissant prévoir des désastres désormais calculables si l’on continue dans le même sen

8 est devenu responsable de ce qu’il n’avait pas su prévoir . Et Tocqueville n’a rien fait — et ne pouvait rien faire — pour modif

9 ndemain de la Seconde Guerre mondiale. Il était à prévoir qu’elle affecterait les « unités » politiques constituées aux siècles

10 ique. Les démographes du Bangladesh, par exemple, prévoient pour leur pays qu’il y aura chaque année vingt millions de morts par

11 dix ans, dans vingt ans, que c’était si facile à prévoir  : tout ce qui était raisonnable y conduisait… (décembre 1976) 25. D

12 la vous plaise ou non, j’ordonne. On ne peut donc prévoir que le déclin fatal de toute démocratie réelle dans un État de plus e

13 es Communautés de Bruxelles dans leur budget 1978 prévoyaient 66 millions d’unités de compte pour la recherche nucléaire et 6 milli

14 orrents d’éloquence coulaient de sa bouche, et on prévoyait sans peine qu’il était appelé à remplir l’avenir qu’il a rempli.

15 ssible et ce qui était préférable. En bref : Je prévois , dit-il, une lutte difficile et une guerre longue. Pour la soutenir,

16 ttant qu’ils nous submergent rapidement, comme le prévoit le général belge Close69, qu’ils occupent tout le continent, de Varso

17 Progrès ? Paul Valéry a écrit : « Nous ne pouvons prévoir nos rêves ni nos projets. » L’avion, l’auto, tout ce que la technolog

18 t des rêves de l’homme, dont nous ne pouvions pas prévoir l’aboutissement. Les régions, enfin. C’est le problème numéro un en E

19 qué avec vingt ans de retard sa constitution, qui prévoit des régions, dont certaines sont autonomes. En Allemagne, il y a les

20 ion — éphémère par définition —, mais refusent de prévoir les dommages, souvent irréversibles, qui pourraient en être le prix.

21  : faire d’abord, quand il est trop tôt pour rien prévoir , et réfléchir ensuite quand il est trop tard pour rien changer ? (C’e

22 oitation « sauvage » de l’informatique laisserait prévoir dès maintenant, et que l’on peut encore prévenir. 5. Un peu de sém

23 fabrique d’automobiles, personne n’eut l’idée de prévoir ce que serait l’avenir dans cette hypothèse — alors très peu probable

24 tion — éphémère par définition — mais refusent de prévoir les dommages, souvent irréversibles, qui pourraient en être le prix.

25  : faire d’abord, quand il est trop tôt pour rien prévoir , et réfléchir ensuite, quand il est trop tard pour rien changer ? C’e

26 oitation « sauvage » de l’informatique laisserait prévoir dès maintenant, et que l’on peut encore prévenir. Ce plan sera celui

27 fabrique d’automobiles, personne n’eut l’idée de prévoir ce que serait l’avenir dans l’hypothèse — alors très peu probable — d

28 Or, comme l’écrit Paul Valéry : Nous ne pouvons prévoir nos rêves, ni nos projets. Cette remarque géniale dans sa simplicité

29 définit l’obstacle majeur à toute espèce d’art de prévoir . À quoi s’ajoute l’imprévisibilité des prévisions qui seront faites d

30 n d’emplois au Japon, et ce n’est qu’un début. On prévoit que d’ici l’an 2000, chez les ouvriers de l’automobile aux USA, vingt

31 demment nocifs du « Progrès » que l’on n’a pas su prévoir , mais ses effets potentiellement bénéfiques, et c’est encore plus gra