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nous décidons aujourd’hui de rendre notre action
publique
, ce n’est point pour essayer de démontrer que le Centre « sert vraime
2
jazz hot, il faut bien constater que c’est notre
public
européen qui, librement, propage ces succès américains et leurs contr
3
guments que l’on invoque pour convaincre le grand
public
de la nécessité d’une collaboration, économique ou militaire par exem
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L’expérience des guildes a prouvé qu’il existe un
public
de lecteurs dix ou vingt fois plus vaste que celui que touchaient les
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er, sont dus à des malentendus. Un bon service de
public
relations — qui nous manque encore — pourrait y remédier. Mais d’une
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aute d’appuis suffisants dans les administrations
publiques
ou auprès d’elles. Pourquoi enfin ce manque d’appuis ? Parce que nous
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era toujours le moins possible. Aux yeux du grand
public
, un budget annuel de 9 millions de dollars, comme celui de l’Unesco,
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sicales contemporaines et la qualité des nouveaux
publics
populaires, ou le rôle du critique qui est d’interpréter ces techniqu
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erts symphoniques et de musique de chambre seront
publics
. Programme Les participants seront invités à rédiger des rappor
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édiger des rapports, à participer aux discussions
publiques
, aux groupes de travail, et aux différents concerts. Au cours de cett
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quoi les auditeurs pourront prendre la parole. Le
public
pourra être admis dans les tribunes à certains des débats au moins. D
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s, le projet fut brûlé par la population en place
publique
. L’État de New York était le plus réticent. Il fut le dernier à se ra
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nc confié à quelque groupe d’experts, inconnus du
public
, et forcément victimes du ressentiment des députés. Qui les suivrait
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et, cet échec a résulté du fait qu’on laissait le
public
dans l’ignorance de la vraie situation européenne, des vrais buts du
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les esprits. Elles s’efforcent aussi de créer les
public
relations qui ont manqué jusqu’ici à l’entreprise Europe unie. Je sai
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le voisine, beaucoup plus riche. Là, sur la place
publique
, on lui apporta des quantités énormes de nourriture, elle mangea tout
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stitute, à Genève, le 26 novembre 1954, devant un
public
d’industriels et de savants de plusieurs pays d’Europe, le directeur
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s l’occasion de réunir leurs forces pour le salut
public
du Continent ? L’idée de former un groupe d’Amis du Centre est né de
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de la culture et de la vie quotidienne. Tout est
public
chez nous, tout est ouvert. Venez donc voir ! mais laissez-nous regar
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3. Publication et distribution « aux institutions
publiques
et aux personnes privées, de revues officielles », en anglais, frança
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ues, universités », etc., et leur « mise en vente
publique
sans aucune entrave » dans tous les pays. 5. Échange accru de « publi
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crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 973.
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libre-échange total, donc de la libre discussion
publique
et privée : cela reviendrait pour elle à accepter le point de vue spé
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iffusion de nos ouvrages et de nos revues dans un
public
qu’ils entendent contrôler et éduquer d’une manière bien définie. Mai
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s s’opposer à ce que l’on montre, au moins à leur
public
le mieux trié, les réalisations de l’Europe ? À ce que l’on donne à c
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alisations de l’Europe ? À ce que l’on donne à ce
public
(si restreint qu’ils le veuillent) une idée précise du nombre et de l
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crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 548.
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cidentaux sont lus par l’intelligentsia et par le
public
cultivé. Marx est introduit en Russie par Tchaktev, dans les années 1
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crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 547. Comme l’indiqu
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crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 956.
31
crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 552.
32
crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 553.
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crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 554.
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ors de la première — mais stupéfaction et gêne du
public
quand les acteurs s’embrassent sur la scène. ⁂ La revue Amerika repar
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ure, elle tire à 50 000 exemplaires distribués au
public
par les services officiels russes, tandis que 1000 exemplaires sont c
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crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 555.
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teur. Nous avons constaté, en effet, que le grand
public
, même cultivé, ignore trop souvent le développement si particulier de
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de vue supranational. Il en résulte que le grand
public
voit très mal le problème éducatif dans son ensemble et dans ses cont
39
ppelons « les bienfaits de l’instruction » rendue
publique
, gratuite et obligatoire. Dans toutes les autres civilisations, la tr
40
ropéenne du sportif est désormais dans le domaine
public
. La Fondation a distribué des subventions à l’Association des univers
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e, ce texte appelle quelques explications pour le
public
qui s’intéresse au sort présent de la littérature. La formule du Prix
42
uirait à écrire des œuvres adaptées au très vaste
public
à la fois exigeant et nouveau réuni ou créé par les guildes. De fait,
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avait rien qui pût attirer l’attention d’un vaste
public
sur des œuvres nouvelles de signification européenne. C’est pourquoi
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après la guerre, ont réussi à créer un très vaste
public
de lecteurs nouveaux, en leur apportant à domicile des livres choisis
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gues, ont été révélés de la sorte à un très vaste
public
international. Le prix devait être décerné une seconde fois en 1956,
46
ois-ci d’œuvre qui lui parut à la fois adaptée au
public
des guildes membres (public qui dépasse aujourd’hui 900 000 lecteurs)
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à la fois adaptée au public des guildes membres (
public
qui dépasse aujourd’hui 900 000 lecteurs) et présentant un intérêt as
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crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 968.
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crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 525.
50
ucation) en Europe. Les méthodes, les moyens, les
publics
visés varient considérablement du Nord au Sud, d’un pays à l’autre, e
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nismes d’éducation populaire groupe le plus vaste
public
organisé qui puisse être atteint en Europe par ceux qui se préoccupen
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crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 902.
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point de vue des programmes et de l’éducation du
public
qu’à celui des aspects économiques. Deux de ces options se trouvaient
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it de trouver une base de jugement, permettant au
public
musical de s’orienter. La suggestion de créer un jury international,
55
chie aux questions que se pose désormais le grand
public
européen, subitement confronté avec des inquiétudes et des espoirs d’
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à fournir une part de nos recettes35.) La fortune
publique
et privée ne croyait pas bien fort à l’union de l’Europe, et moins en
57
ondres ; G. V. Casara, ministère de l’Instruction
publique
, Rome ; Angela Zucconi, Centro di Educazione Professionale per Assist
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deux ou trois langues, ces bulletins touchent un
public
plus large et paraissent répondre à des besoins réels. Compte tenu de
59
nisations européennes, ceci restant l’affaire des
public
relations de chaque organisme. L’information dont nous voulons parler
60
e sont scandaleusement négligées dans nos budgets
publics
et privés39. Les États et les grands capitalistes de l’Europe de l’Ou
61
e politique européenne. Pour un pacte de salut
public
Désunion de l’Europe, union de ses adversaires : ces deux grands
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tront de peu de poids. L’idée d’un Pacte de salut
public
conclu par les mouvements et groupes de toute nuance cessera d’être «
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crit de Rougemont aux archives de la Bibliothèque
publique
et universitaire de Neuchâtel, sous l’identifiant 574.
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fausser le sens des valeurs réelles dans le grand
public
. Mais en fin de comptes et au total, il sert le prestige de la cultur
65
rmais de guider et de stimuler les goûts du grand
public
. Quelle est à cet égard la situation actuelle ? Justifie-t-elle le pe
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ions de disques ont contribué à préparer un vaste
public
entièrement nouveau pour l’audition de la musique sérieuse donnée par
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imer tel ou tel ouvrage parce qu’il n’aura pas de
public
, c’est-à-dire en fait, parce qu’il ne ressemble pas aux « succès » qu
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à présent. Il semblerait, à les en croire, que le
public
qui lit représente une petite masse invariable, ou même décroissante.
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es et illustrées, et de les vendre directement au
public
qui n’a pas l’habitude de fréquenter les librairies. Les initiateurs
70
ndre une attitude générale de confiance envers le
public
. Il faut qu’ils renoncent une bonne fois à l’idée périmée que le succ
71
e croissante des masses et de guider les goûts du
public
vers la qualité, au lieu de rester prisonniers des préjugés soi-disan
72
les moyens d’atteindre vite, et simultanément le
public
auquel il s’adresse, c’est-à-dire les publics des pays différents don
73
t le public auquel il s’adresse, c’est-à-dire les
publics
des pays différents dont il expose les intérêts communs. Quant au pr
74
; plus rarement, il est vrai, aux yeux d’un grand
public
indifférent à la culture. ⁂ En 1960, faut-il encore un Centre ? Nous
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ments politiques de notre État », 6 aux « organes
publics
», 3 à « l’élection des représentants du peuple » et 1 à la « constit
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qu’il communique un intérêt vivant pour la chose
publique
, et cela doit nous inquiéter ; enfin et surtout, ils ne disent pas en
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hommes qui vont l’aider et les milieux ignorés du
public
où résident les pouvoirs réels. Il a aussi le salon de Lady Cunard, d
78
ion donnée à la variété des forces animant la vie
publique
: partis, confessions religieuses, syndicats, pressure groups, etc. M
79
nturier, il devait quitter le pays en bienfaiteur
public
. « De fait, écrit-il, lorsque je quittai le Mexique pour de bon en 19
80
’il l’avait bien exposée — il parlait très mal en
public
, et aussi rarement que possible — mais parce qu’il entreprit sans per
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que nous connaissons aujourd’hui et que le grand
public
européen tient pour toutes naturelles, n’eussent probablement pas vu
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négociateurs, nos hommes d’État, et nos opinions
publiques
de s’entendre, de s’arranger, et de régler les conflits encore plus g
83
n congrès, on ne parle pas à l’Autre, on parle au
public
, qui n’est personne. Si nous voulons un vrai dialogue entre nos cultu
84
ans. Le développement du livre de poche a créé un
public
gigantesque totalement inexistant il y a cinquante ans encore. En Amé
85
par jour. Ainsi, c’est à la création d’un nouveau
public
, à l’accession à la culture de couches immenses que nous assistons au
86
fre une tradition, une subsistance économique, un
public
, bref, une réponse à leur travail créateur. Et ceci nous conduit à l’
87
étition dans un même lieu. La réponse, c’était le
public
présent, de bons juges, un milieu vivant, des instruments de création
88
presque rien, et qui exigent un important mécénat
public
et privé, des richesses assez librement dispensées. Je reviendrai plu
89
e) sur l’Afrique et l’Europe, etc., etc. Le grand
public
, même cultivé, ignore les publications savantes. En revanche, on lui
90
i c’était à la mode, si cela intéressait le grand
public
. Certaines manières d’expliquer que « Jean Monnet avait raison et la
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ésintéressement flagrant des élèves pour la chose
publique
et leçons qui s’y rapportent ; 2° Une carence de l’éducation civique
92
ente pas les problèmes vivants et réels de la vie
publique
; 3° Le besoin partout reconnu d’une éducation civique plus concrète
93
sponsables des domaines les plus variés de la vie
publique
, économique et sociale, d’autre part. Condition générale d’admission
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c’est à ses risques et périls : toute déclaration
publique
est obligatoirement suivie d’une discussion réglée ; ici l’on n’impos
95
contradictions de leur développement dans la vie
publique
et privée de l’unité culturelle en question. Le problème des possible
96
et certaines idéologies, certaines formes de vie
publique
, que cette culture seule expliquait. Alors parut un troisième motif d
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es nécessités concrètes qui sont celles de la vie
publique
et civique — domaine du sérieux. On pourra s’inquiéter aussi de nous
98
l publie, il expose, il ambitionne d’être joué en
public
, c’est-à-dire qu’il cherche aussi l’approbation et la sanction suprêm
99
un siècle l’unité de base de toute vie sociale et
publique
en Grèce. Elle donna même son nom à cette forme d’activité : la polit
100
le, l’État régit souverainement toute l’existence
publique
de la nation, c’est-à-dire de l’ensemble des hommes vivant à l’intéri
101
s sur le terrain. — Tout ce qui relève du domaine
public
(économie, politique, transports, enseignement, fiscalité, défense, t
102
té — de la politique comme stratégie des affaires
publiques
. Politiser une campagne signifie donc réduire la lutte électorale à
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composer et hiérarchiser les finalités de la vie
publique
— et c’est là sa fonction stratégique — puis l’art de participer aux
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à traduire les finalités d’une société en mesures
publiques
bien calculées, revient purement et simplement à décider la hiérarchi
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les étages et dans tous les domaines de leur vie
publique
, en lieu et place des fonctionnaires irresponsables, mais d’autant pl
106
cité n’ont cessé de le ramener aux grands postes
publics
, quand un appel pressant du pays l’y engageait. Jeter des ponts, reli
107
u problème régional. En tant qu’il est discuté en
public
, le problème ne date guère que des années soixante de ce siècle. La b
108
sa nécessité et sa possibilité aux yeux du grand
public
. Ni les uns, ni les autres, n’ont encore bien compris pourquoi des ré
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nes (sauf le religieux, au xxe siècle) de la vie
publique
. Mouvements pendulaires de main-d’œuvre à travers la frontière, non m
110
ionniers de la physique atomique, lors d’un débat
public
sur les centrales nucléaires. Rien de plus déprimant pour la santé d’
111
parmi les intellectuels autant que dans le grand
public
européen, c’est que George Orwell a prévu notre destin inéluctable d’