1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
1 st vraiment un étonnant esprit. Pour présenter au public français cette œuvre « d’importance européenne », croyez-vous qu’il a
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 ales, si singulières soient-elles — dont le grand public reste le témoin souvent sceptique ou railleur. Au cœur de la crise de
3 On n’écrit plus pour s’amuser : ni pour amuser un public . Un livre est une action, une expérience. Et, le plus souvent, sur so
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Wilfred Chopard, Spicilège ironique (mai 1926)
4 grâce un peu frileuse et se permet de bâiller en public . On connaît le danger… r. « Wilfred Chopard  : Spicilège ironique,
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
5 Barrès, sur Wagner, sur quelques fantômes, sur le public . (Bientôt sur lui-même je le crains, pour renaître catholique.) Certe
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
6 e d’une boîte de nuit, d’une devanture, d’un parc public . Ce n’est pas le meilleur livre de l’auteur d’Anicet. C’est pourtant
6 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
7 pçons du « petit-bourgeois » qu’il a choisi comme public , et brusquement le mot éclate : menteur. Feintes et esquives adroites
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
8 une place rectangulaire qui ressemble à un jardin public , flanquée d’un temple blanc à deux clochers baroques, d’hôtels modern
9 ces bourgeoises et militaires, idylles de jardins publics à l’écart d’un concert du samedi soir, petits professeurs entourés de