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crois que vous êtes encore trop compliqué pour ce
public
. Il me semble qu’on pourrait leur parler plus directement, les interp
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jection. Pour assurer le fameux « contact avec le
public
», rien ne vaut cette proximité physique. Je leur parlai pendant deux
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nds par Versailles, par la défaite, par la misère
publique
. Voilà bien la blessure la déception non plus ressentie par un indivi
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iste, anticapitaliste mais antiétatique. Le grand
public
nous ignorait. Nous formions ce qu’on appelle avec un peu de pitié de
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unité, dans le plan de la culture et de la morale
publique
, de même que seule une Autorité politique supranationale sera capable
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liturgie non plus puisqu’il n’existe pas de culte
public
, ni même de rites communautaires ; à part les processions et fêtes pé
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de ce siècle sur les nominations dans la fonction
publique
, et nul autre parti ne l’a remplacé ; peu ou point de grandes fortune
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nséquences qu’on a vues dans le domaine de la vie
publique
: tout se ligue instantanément contre celui qui ferait mine de dépass
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rt s’épanouisse, il faut un milieu, une école, un
public
alerté, un snobisme, les libéralités d’un mécène ou d’une cour. C’est
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es ou religieux, négociateurs de grandes affaires
publiques
à l’échelle de l’Europe et du monde, théologiens ou pédagogues, savan
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ation d’un chef du service juridique au Ministère
public
, recueillie par Franck Jotterand au cours d’une enquête sur la censur
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es relations humaines dans la cité, des relations
publiques
en général. C’est ce qu’avait bien vu le regretté Pierre Duclos, lors