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mais l’érotisme, ni la sensualité, mais son aveu
public
, sa projection devant nous, qui soudain nous provoque à une prise de
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e la Nouvelle Vague internationale, pour le grand
public
. Que verra dans tout cela, de prime abord, le témoin normal et moyen
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l résulte d’une enquête récente, conduite dans le
public
américain, que les préférences du grand nombre vont aux romans écrits
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mant sa morale optimiste. Tels étant les goûts du
public
, telles seraient donc, selon l’enquête, les conditions requises pour
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, et nous passionne ? Les préférences qu’avoue le
public
interrogé devraient le porter, si l’on en croit l’enquête, vers une v
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sion est exclu. Or je vois triompher dans ce même
public
deux romans de l’amour-passion. Dira-t-on qu’il s’agit d’un refouleme
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nt il les approuve afin de rentrer dans la faveur
publique
, n’est-ce pas lui qui trahit le peuple ? Ce serait le cas, en effet,
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me accéléré de trois ou quatre volumes par an, le
public
s’écarta, effrayé. Et, lorsqu’en 1854 il attaqua de front le christia
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erait. Il faut donc qu’il commence par séduire le
public
, qu’il le force à devenir attentif, toutefois sans trahir l’intention
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gneusement dissimulé. De la sorte, il attirera le
public
et l’amènera à son insu au point le plus favorable pour l’attaque déc
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érer le secret sans le dire, enfin pour forcer le
public
ou la cour « à devenir attentifs » malgré eux. (Mundus vult decipi, l
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s’était vue dénoncée, et il avait forcé le grand
public
à devenir attentif à son message. Mais, au lieu de se faire meurtrier
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iction, car comment le croisement de huit chemins
publics
peut-il former un « coin » solitaire et dérobé ? Si la rencontre de t
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uan. Dans ses rapports avec son œuvre, son action
publique
, et sa vocation finale, il fut Hamlet. Mais dans sa vie individuelle,