1
proprement parler un pouvoir de contrainte sur le
public
. Si belle et puissante qu’elle soit, on peut toujours la critiquer, o
2
latteur de femmes riches — celles qui forment son
public
? Mais la suite du poème est troublante. Peire Vidal énumère les mais
3
le seraient de nos jours. Ils chantaient, pour un
public
en majorité favorable à l’hérésie, une forme d’amour qui se trouvait
4
», les troubadours, et ses « croyants », le grand
public
cultivé ou non, qui écoute les troubadours et fait leur gloire mondai
5
mières mentions d’une Église cathare organisée et
publique
datent de 1160. Mais dès 1145, selon Borst, le catharisme s’est répan
6
pour assurer le succès de l’ouvrage dans un large
public
pressé. Comme il arrive.) 63. Comme Amor s’oppose à Roma. Les héréti
7
fabliaux eurent un immense succès (auprès du même
public
, souvent, que les romans idéalistes). C’étaient des historiettes griv
8
ale exceptionnelle : c’est plutôt la frivolité du
public
ordinaire des théâtres, son sentimentalisme lourd, et pour tout dire
9
end provient précisément du fait qu’il libère le
public
de ses contradictions intimes. En effet : point de roman sans obstacl
10
ns précédent du transfert qui s’opère du privé au
public
. Quel Wagner surhumain sera donc en mesure d’orchestrer la grandiose
11
ssitôt paraît une anxiété dans l’entourage (ou le
public
) : l’amant comblé va-t-il encore aimer cette Iseut une fois épousée ?
12
une thèse qui a eu un certain écho dans le grand
public
, et qui a présenté les troubadours et la poésie courtoise comme autan
13
e espèce d’intempéries critiques, personnelles et
publiques
, psychologiques et politiques. Mais le plus grand malentendu consiste