1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
1 proprement parler un pouvoir de contrainte sur le public . Si belle et puissante qu’elle soit, on peut toujours la critiquer, o
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
2 latteur de femmes riches — celles qui forment son public  ? Mais la suite du poème est troublante. Peire Vidal énumère les mais
3 le seraient de nos jours. Ils chantaient, pour un public en majorité favorable à l’hérésie, une forme d’amour qui se trouvait
4 », les troubadours, et ses « croyants », le grand public cultivé ou non, qui écoute les troubadours et fait leur gloire mondai
5 mières mentions d’une Église cathare organisée et publique datent de 1160. Mais dès 1145, selon Borst, le catharisme s’est répan
6 pour assurer le succès de l’ouvrage dans un large public pressé. Comme il arrive.) 63. Comme Amor s’oppose à Roma. Les héréti
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
7 fabliaux eurent un immense succès (auprès du même public , souvent, que les romans idéalistes). C’étaient des historiettes griv
8 ale exceptionnelle : c’est plutôt la frivolité du public ordinaire des théâtres, son sentimentalisme lourd, et pour tout dire
9 end provient précisément du fait qu’il libère le public de ses contradictions intimes. En effet : point de roman sans obstacl
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
10 ns précédent du transfert qui s’opère du privé au public . Quel Wagner surhumain sera donc en mesure d’orchestrer la grandiose
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
11 ssitôt paraît une anxiété dans l’entourage (ou le public ) : l’amant comblé va-t-il encore aimer cette Iseut une fois épousée ?
6 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
12 une thèse qui a eu un certain écho dans le grand public , et qui a présenté les troubadours et la poésie courtoise comme autan
13 e espèce d’intempéries critiques, personnelles et publiques , psychologiques et politiques. Mais le plus grand malentendu consiste