1 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
1 es communes. Ainsi serait évitée la collusion des puissances financières avec le Parlement et l’exécutif, collusion responsable de
2 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
2 ve des contraintes qui le rassurent, et l’État sa puissance matérielle. C’est Rome alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera
3 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
3 u peuple, assoiffé de justice, restaurateur de la puissance allemande, et redresseur de tous les torts : le pur des purs. En prés
4 omme tel, n’est que le support ou le médium d’une puissance qui échappe à nos psychologies. Voilà de quoi déconcerter nos hommes
4 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
5 e à notre neutralité : il serait de l’intérêt des puissances belligérantes de ne point utiliser le passage par la Suisse, qui les
6 texte dit autre chose, dit beaucoup plus : « Les Puissances signataires de la déclaration du 20 mars 1815 reconnaissent authentiq
5 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
7 stence ; cependant que les masses, créées par des puissances inhumaines (et auxquelles nulle culture n’aurait pu s’opposer) ont dé
6 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
8 point. » Voilà la base et le point fixe que nulle puissance humaine ne saurait ébranler, quand tout le reste, ciel et terre, idéa
7 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
9 est antifédéraliste. Tout parti politique est en puissance un petit État totalitaire et unifié, qui voudrait bien tout régler à
10 labilité, vitupère en style de cabaret une grande puissance européenne, comme s’il s’agissait d’une paisible élection municipale 
8 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
11 ue de tout temps, la Suisse a été menacée par des puissances dix fois supérieures, et qu’elle ne s’est maintenue qu’en acceptant l