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es communes. Ainsi serait évitée la collusion des
puissances
financières avec le Parlement et l’exécutif, collusion responsable de
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ve des contraintes qui le rassurent, et l’État sa
puissance
matérielle. C’est Rome alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera
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u peuple, assoiffé de justice, restaurateur de la
puissance
allemande, et redresseur de tous les torts : le pur des purs. En prés
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omme tel, n’est que le support ou le médium d’une
puissance
qui échappe à nos psychologies. Voilà de quoi déconcerter nos hommes
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e à notre neutralité : il serait de l’intérêt des
puissances
belligérantes de ne point utiliser le passage par la Suisse, qui les
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texte dit autre chose, dit beaucoup plus : « Les
Puissances
signataires de la déclaration du 20 mars 1815 reconnaissent authentiq
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stence ; cependant que les masses, créées par des
puissances
inhumaines (et auxquelles nulle culture n’aurait pu s’opposer) ont dé
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point. » Voilà la base et le point fixe que nulle
puissance
humaine ne saurait ébranler, quand tout le reste, ciel et terre, idéa
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est antifédéraliste. Tout parti politique est en
puissance
un petit État totalitaire et unifié, qui voudrait bien tout régler à
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labilité, vitupère en style de cabaret une grande
puissance
européenne, comme s’il s’agissait d’une paisible élection municipale
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ue de tout temps, la Suisse a été menacée par des
puissances
dix fois supérieures, et qu’elle ne s’est maintenue qu’en acceptant l