1
t pas liée à l’État et n’a jamais été un moyen de
puissance
de l’État. 2° la culture vit chez nous dans de petits compartiments n
2
t pas liée à l’État et n’a jamais été un moyen de
puissance
de l’État ; 2° la culture vit chez nous dans de petits compartiments
3
ers une Europe fédérale (10 mai 1963)f I. La
puissance
ou la liberté ? L’union de l’Europe ne pourra se faire qu’en vertu
4
politique au sens large : et ce sont le besoin de
puissance
et le besoin de liberté. Le premier porte à vouloir des régimes unita
5
nature, quoique de signe inverse : la volonté de
puissance
d’un dictateur réussit dans la mesure exacte où elle rencontre et sat
6
satisfait un besoin largement partagé de subir la
puissance
d’un autre, d’être commandé, d’obéir, donc d’être libéré de sa propre
7
et donc d’actualiser à son échelle sa volonté de
puissance
personnelle. Parmi les hommes que le souci de la chose publique condu
8
ouble refoulement. Chez le manager, la volonté de
puissance
ne se traduit que d’une manière abstraite, en termes d’organisation s
9
e à la fois aux besoins réels d’une communauté en
puissance
, et à des solutions qui figurent l’optimum entre les maxima contradic
10
nt chacun sait que la variété même conditionne la
puissance
créatrice de l’Europe. Il convient donc d’attribuer aux régions une t
11
nt vus brutalement mis en demeure par deux autres
puissances
de cesser les hostilités, qu’ils venaient d’engager contre l’Égypte.
12
’Égypte. Ils ont immédiatement obtempéré. Or, ces
puissances
n’étaient pas même européennes, et sans l’appui de l’une aucun pays d
13
s voisins et frères, mais seulement par l’une des
puissances
extérieures qui ont la souveraineté atomique. Cette situation aussi d
14
urait conclure une alliance militaire avec aucune
puissance
qui maintiendrait son « droit » de recourir à la guerre. Dans le doma
15
érieures l’ont contrainte à se retirer du jeu des
puissances
militaires. La neutralité n’a jamais été qu’un moyen au service de no
16
, en quelque sorte, elle n’est plus celle que les
Puissances
garantirent en 1815. Si elle en vient un jour à s’opposer aux intérêt
17
lement, ne se permet pas encore de lassitude. Les
puissances
de l’inconscient, du corps et de l’imagination, se sont mises en état
18
. Pourtant, il semble bien que l’excès même de la
puissance
des armes inventées par nos sciences ait tout d’un coup bloqué ce pro
19
res de Genève, et je songeais que ces armes d’une
puissance
folle nous laissent en fait à la merci d’une saute de vent. Mais si l
20
uelle on s’est heurté. La technique n’est pas une
puissance
indépendante de l’homme et qui pourrait se tourner subitement contre
21
surtout, par ses progrès mêmes, par les moyens de
puissance
toujours plus formidables et, en même temps, toujours plus facilement
22
nie de leur pays (ou bien celle d’équilibre des «
Puissances
») qui était la seule sérieuse pour leurs grands-pères. C’est tout ce
23
e nos États-nations (qu’on appelait naguère des «
Puissances
») se rêve ou s’est rêvé un jour Empire. Certains le sont parfois dev
24
correspondantes) : si à ce moment-là, une grande
puissance
quelconque vient acheter tout le corps professoral, comme cela se fai
25
ipliés sur tous les continents par le retrait des
puissances
naguère coloniales. Enfin, ils sont trop petits pour agir politiqueme
26
les concentrations de forces proportionnées à la
puissance
que l’on veut obtenir et en même temps multiplier les petites unités
27
tre que les guerres croissent en étendue comme en
puissance
de mort à proportion des sacrifices financiers et des efforts de déve
28
illions de jeunes hommes, tant de richesses et la
puissance
européenne, et les adorateurs de la force pêle-mêle avec les défenseu
29
a vie politique et la vie publique. Une vise à la
puissance
collective ou d’un homme, l’autre vise à la liberté et à la libératio
30
ns sa formule xixe siècle, qui ne visait qu’à la
puissance
collective, et qui aboutit aux guerres que l’on sait. […] Souverainet