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ariat. Il était en droit d’attendre de vous cette
puissance
libératrice dont la bourgeoisie l’a frustré : l’esprit de création, l
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umises au primat de la masse, à l’anonymat et aux
puissances
de la matière. Pour nous l’homme est autre chose qu’une unité de comp
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ste pas enfin à développer jusqu’au monstrueux la
puissance
abstraite de l’État. Le fondement de notre action est la liberté, le
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e que pensent les réalistes à l’américaine. (Leur
puissance
ne reposait que sur l’illusion matérielle, monétaire : on a vu ce qu’
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ons cherche la paix comme d’autres ont cherché la
puissance
, ou l’ordre, ou l’aventure, ou le plaisir. Cette ardeur est évidemmen
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ent pas à eux-mêmes ; comment croiraient-ils à la
puissance
de la personne ? C’est le « prolétariat » personnaliste. On s’occuper
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e réalité. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de
puissance
que la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix, et non pas
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tion. » Mais si cet ordre est défini par la seule
puissance
de l’État, nous crions au « fascisme » et à la contre-révolution. Tou
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elle. Car c’est ici d’un chiffre que dépendent la
puissance
, et la vertu, et l’invention, et l’amour même. Et ce chiffre n’est pa
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e banquiers. Il est contre nature que l’amour, la
puissance
, dépendent d’une chose morte, quand leur essence est vie. Or nous voy
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emporter par trop violemment. C’est à eux que la
puissance
finira par échoir ; elle leur sera confiée, parce qu’ils n’en useront
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nt en effet les ligueurs ? L’anéantissement de la
puissance
politique de la Réforme. Et que voulaient les calvinistes ? Le libre
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le roi : « Tout l’État est en lui, en lui est la
puissance
, en lui est la volonté de tout le peuple 26. » C’est cette troisième
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quage monumental, soit comme une manifestation de
puissance
d’un parti, au moins superflue. Les « élections » au Reichstag du 29
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par des députés livrés à toutes les intrigues des
puissances
occultes. En réalité, la « démocratie » hitlérienne et la « démocrati
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même d’un créateur dont notre pensée se forme en
puissance
d’acte. Ainsi quand nous parlons d’autorité spirituelle, ou mieux d’a
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autorité proclamée au-dehors, très inférieure en
puissance
matérielle, mais déjà victorieuse dans l’ordre spirituel. 5. La révol
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tés et provisoires, de leurs électeurs. Plusieurs
puissances
pratiquent dans le monde d’aujourd’hui de grandes politiques et même
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intérieure qui corresponde au rôle que les autres
puissances
la mettent au défi de jouer ? A-t-elle une conception de l’homme qui
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nceptions nouvelles ou rétrogrades que les autres
puissances
exaltent ? Toutes ces questions sont des questions de vie ou de mort
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ceux qui ne se laissent pas impressionner par la
puissance
offensive de l’Armée rouge (Pierre Cot dixit), au point d’abdiquer to
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la seule raison d’être (ou commune mesure) fut la
puissance
matérielle la plus basse, et dont le moyen fut le bureaucratisme. Cet
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on au sens de non-abstention ne rendant plus, les
puissances
décident solennellement de passer au système de la non-intervention d