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ve des contraintes qui le rassurent, et l’État sa
puissance
matérielle. C’est Rome alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera
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regards : elles sont devenues chiffres abstraits,
puissances
lointaines, dont les économistes se sont mis à étudier les mœurs étra
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insi que tout récemment, le ministre d’une grande
puissance
, le camarade Molotov, déclarait que le mot d’agression avait changé d
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ement garantie depuis 1815 par toutes les grandes
puissances
européennes. Voilà, n’est-ce pas, trois belles et bonnes raisons de n
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e à notre neutralité : il serait de l’intérêt des
puissances
belligérantes de ne point utiliser le passage par la Suisse, qui les
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texte dit autre chose, dit beaucoup plus : « Les
Puissances
signataires de la déclaration du 20 mars 1815 reconnaissent authentiq
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t, malgré tous les efforts de Nicolas de Flue, la
puissance
matérielle et la grandeur territoriale viendront tenter les Suisses.
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e Claus. Un grand État participant aux luttes des
puissances
nationales en formation — tel que le rêva Mathieu Schinner — ne pouva
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’est celui de l’Europe entière, non tel groupe de
puissances
voisines. Or l’Europe est un idéal, une civilisation et un esprit, bi
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e peut être fédérée que par l’action d’une grande
puissance
. Ce fut l’idée de Napoléon. C’est peut-être l’idée d’Hitler. C’est au
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ialisme, tout gigantisme inhumain, tout délire de
puissance
. Mais il a pour inconvénient de restreindre les horizons, et de créer
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est antifédéraliste. Tout parti politique est en
puissance
un petit État totalitaire et unifié, qui voudrait bien tout régler à
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labilité, vitupère en style de cabaret une grande
puissance
européenne, comme s’il s’agissait d’une paisible élection municipale