1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
1 ve des contraintes qui le rassurent, et l’État sa puissance matérielle. C’est Rome alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
2 regards : elles sont devenues chiffres abstraits, puissances lointaines, dont les économistes se sont mis à étudier les mœurs étra
3 insi que tout récemment, le ministre d’une grande puissance , le camarade Molotov, déclarait que le mot d’agression avait changé d
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
4 ement garantie depuis 1815 par toutes les grandes puissances européennes. Voilà, n’est-ce pas, trois belles et bonnes raisons de n
5 e à notre neutralité : il serait de l’intérêt des puissances belligérantes de ne point utiliser le passage par la Suisse, qui les
6 texte dit autre chose, dit beaucoup plus : « Les Puissances signataires de la déclaration du 20 mars 1815 reconnaissent authentiq
4 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
7 t, malgré tous les efforts de Nicolas de Flue, la puissance matérielle et la grandeur territoriale viendront tenter les Suisses.
8 e Claus. Un grand État participant aux luttes des puissances nationales en formation — tel que le rêva Mathieu Schinner — ne pouva
9 ’est celui de l’Europe entière, non tel groupe de puissances voisines. Or l’Europe est un idéal, une civilisation et un esprit, bi
10 e peut être fédérée que par l’action d’une grande puissance . Ce fut l’idée de Napoléon. C’est peut-être l’idée d’Hitler. C’est au
11 ialisme, tout gigantisme inhumain, tout délire de puissance . Mais il a pour inconvénient de restreindre les horizons, et de créer
5 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
12 est antifédéraliste. Tout parti politique est en puissance un petit État totalitaire et unifié, qui voudrait bien tout régler à
13 labilité, vitupère en style de cabaret une grande puissance européenne, comme s’il s’agissait d’une paisible élection municipale