1
dicule ni trahison, nous qui n’avons aucune autre
puissance
. C’est dans cette recherche d’une mesure de l’homme et d’une définit
2
qu’une utopie dont rien n’atteste la réalité, la
puissance
, la vérité. Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec,
3
iction. L’argent règne sur notre monde, comme une
puissance
occulte et pourtant méticuleusement tyrannique, comme une divinité qu
4
a réalité. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de
puissance
que la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix, et non pas
5
anière un peu paradoxale, que ces lois perdent en
puissance
à mesure qu’elles gagnent en généralité. À mesure qu’elles s’éloignen
6
mission. Pour l’autre, la vocation sera comme une
puissance
qui fond sur lui, puissance trop forte pour ses forces, et qui l’entr
7
cation sera comme une puissance qui fond sur lui,
puissance
trop forte pour ses forces, et qui l’entraînera dans une aventure imp
8
’il se confie dans ses œuvres, et qu’il adore ses
puissances
. Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe, une espérance
9
u christianisme. ⁂ Le christianisme n’est pas une
puissance
à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, si
10
isme n’est pas une puissance à notre disposition,
puissance
que les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de n
11
celle de la foi. Ce peut être sur une éthique de
puissance
et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal human
12
xtension, par la force, d’un principe de soi sans
puissance
: c’est le mot allemand Gleichschaltung — mise au pas — qui justifia
13
n déploiement plus généreux, plus intégral de ses
puissances
. Les prétentions totalitaires du communisme sont fondées, en effet, s
14
ons cherche la paix comme d’autres ont cherché la
puissance
, ou l’ordre, ou l’aventure, ou le plaisir. Cette ardeur est évidemmen
15
ble et qu’on pourrait n’en point parler. Mais les
puissances
mauvaises résistent, elles veulent durer, elles se défendent par la f
16
e ses ancêtres consacraient à la création de leur
puissance
, du même coup elle décrète « forcé » le travail des classes chargées
17
tés et provisoires, de leurs électeurs. Plusieurs
puissances
pratiquent dans le monde d’aujourd’hui de grandes politiques et même
18
intérieure qui corresponde au rôle que les autres
puissances
la mettent au défi de jouer ? A-t-elle une conception de l’homme qui
19
nceptions nouvelles ou rétrogrades que les autres
puissances
exaltent ? Toutes ces questions sont des questions de vie ou de mort
20
ve des contraintes qui le rassurent, et l’État sa
puissance
matérielle. C’est Rome alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera