1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. I. Protohistoire d’un continent sans nom
1 énéralement cet étrange courant mystique, dont la puissance et la durée sont encore attestées par des milliers et des milliers de
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
2 rès, j’aie l’air d’être un taureau ; il est en ma puissance de paraître ce que je veux. C’est mon amour pour toi qui m’a poussé à
3 ce. Dans les deux cas, Europe reste le nom d’une puissance féminine enlevée à l’Asie, puis fécondée par le dieu mâle qui règne s
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
4 s ne servent donc qu’à augmenter et à propager la puissance de leurs tyrans, lorsque les dangers et la mort sont les seuls fruits
5 onne, sans autre intérêt que celui d’augmenter la puissance de qui l’opprime. Ainsi il reste pour certain que les gouvernements i
4 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
6 la pénombre, le démon de l’utilitarisme et de la puissance aveugle, l’oubli des buts de l’âme, le corps et la matière, l’activit