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ve que l’être même de l’Amour — son existence, sa
puissance
et son essence — recrée sans cesse la multiplicité non illusoire des
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des dieux antiques, évoquent certains groupes de
puissances
), c’est méditer en fait sur des structures de l’âme qui nous inclinen
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t ordonnatrices, symboles actifs et véhicules des
puissances
animiques d’Éros, les mythes peuvent nous servir de guides dans la Co
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aux deux-mille pages de son dernier ouvrage20 une
puissance
d’envoûtement que je n’avais pas subie depuis l’œuvre de Proust, mieu
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rompre les chaînes de la mélancolie, où une autre
puissance
me retenait. » Cette disposition, ajoute-t-il, l’a condamné à observe
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d’une image à lui-même secrète. Et de là vient sa
puissance
apparente, sa furia, son rythme dionysiaque… Or si le don-juanisme es
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étruire devient douleur, et dans l’angoisse d’une
puissance
anéantie par son succès, que Nietzsche a rencontré soudain la fascina
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n signalement selon Kierkegaard. Don Juan est une
puissance
, et non pas une personne : Quand Don Juan est conçu musicalement, j’
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nt, j’entends en lui tout l’infini, mais aussi la
puissance
infinie de la passion, à laquelle rien ne peut résister ; j’entends l
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ésente pas comme personne ou individu, mais comme
puissance
.25 Don Juan est un mouvement, une tension pure, ou n’est plus rien.
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est donc seul capable de dompter Don Juan, nulle
puissance
du monde n’en ayant eu raison. Cette description du mythe par Kierke
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e partout ». Don Juan n’étant pas caractère, mais
puissance
et vie, donc « absolument musical », les autres personnages, qui ne s
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. C’est ce que veut aussi l’amour, ainsi ces deux
puissances
s’entendent dans la passion de l’instant, et cette puissance est just
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’entendent dans la passion de l’instant, et cette
puissance
est justement l’amour. Cette forme de pensée est tristanienne. Elle
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emplaires : deux tensions pures. Le grand jeu des
puissances
mythiques y révèle mieux qu’ailleurs ses lents mouvements d’approche,
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la violence d’un instinct est en dehors de notre
puissance
». Dans le procès de maîtrise d’un instinct : … l’intellect n’est q
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rivaux » se ramène en fait à deux possibilités ou
puissances
rivales en l’homme : l’érotisme sexuel et l’amour. Or, ni la passion
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donc pas autre chose que la lutte entre les deux
puissances
de l’Éros animique que symbolisent les mythes de Don Juan et de Trist
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ne tienne ! « Cette pensée, elle aussi, est sans
puissance
sur nous. Le christianisme s’est-il donc effrayé d’idées semblables ?
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le prochain. N’étant pas des personnes, mais des
puissances
, ils ne sauraient s’aimer eux-mêmes, ce qui est la condition de l’amo
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bon archer tire plus loin avec un arc de moyenne
puissance
qu’un archer sans âme avec l’arc le plus fort. Le résultat ne dépend
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be alors dans les liens de l’instinct, qui est la
puissance
impersonnelle par excellence, et s’épuise à s’en libérer par le chang
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t du Temple et les anges te porteront), et par la
puissance
(je te donnerai tous les royaumes du monde). Mais non point par cela