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oir en elle une promesse de vie plus vivante, une
puissance
qui transfigure, quelque chose qui serait au-delà du bonheur et de la
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lusion. Trop de mythes manifestent parmi nous une
puissance
trop incontestable. Mais l’abus que l’on fait du mot oblige à le redé
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artient ni à l’un ni à l’autre, mais relève d’une
puissance
étrangère, indépendante de leurs qualités, de leurs désirs, au moins
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dit en note : « Passage inintelligible. » Quelle
puissance
maléfique est donc intervenue pour brouiller le seul texte qui pût éc
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, l’élan religieux originel porté à sa plus haute
puissance
, à l’extrême exigence de pureté qui est l’extrême exigence d’Unité. M
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lui-ci se trouvant d’ailleurs réduit à sa moindre
puissance
d’action réelle, tout en demeurant l’enjeu final et le personnage sac
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nant que la structure sociale est plus solide, la
puissance
du père plus assurée, et le dieu dont le père tient ses pouvoirs plus
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été où le principe de cohésion se relâche ; où la
puissance
économique détenue par le père se voit divisée ; où la puissance divi
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mique détenue par le père se voit divisée ; où la
puissance
divine se divise elle-même, soit en une pluralité de dieux, comme en
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ité féminine devient alors une participation à la
puissance
légitime du Dieu lumineux, un « endieusement », c’est-à-dire littéral
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par force, il le profane. Et voici déchaînées les
puissances
mauvaises. « Souffle, souffle ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d
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passionnés, il aime avec témérité la sensation de
puissance
qu’il éprouve dans le risque. D’où le désir final du risque pour lui-
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rhétorique faisait foisonner rapidement certaines
puissances
latentes du cœur. L’apparition de Werther par exemple a produit une v
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ctrina christiana, il s’était insurgé « contre la
puissance
créatrice de Dieu, contre les dogmes de la Trinité et de l’Incarnatio
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Le drame débute par une évocation monumentale des
puissances
qui gouvernent le monde du jour : haine, orgueil, et violence barbare
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’hymne des troubadours en un roman163 — ainsi les
puissances
du jour, évoquées par le premier acte, introduisent la lutte et la du
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ants qui roulent les individus détachés, avec une
puissance
que l’esprit répugne encore à mesurer. L’envahissement de nos littéra
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e, c’est l’instinct libéré de l’esprit, la grande
puissance
solaire qui broie et magnifie l’individu fécond, la belle brute décha
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r non plus en détruisant mais en mariant les deux
puissances
antagonistes. Que l’esprit vienne au secours de la chair et retrouve
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ur fonction sociale d’ordonner et de purifier les
puissances
anarchiques de la passion. Une mystique transcendante orientait secrè
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rça d’imposer tout au moins une forme d’art à ces
puissances
obscures privées de leur forme sacrée. C’est à ces vestiges de rites
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ythe de la passion, c’est-à-dire pour rendre à la
puissance
anarchique un cadre et des moyens d’expression rituels. Et c’est bien
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mais bien le cœur collectif, si l’on ose dire, la
puissance
passionnelle de la Nation. Les poètes romantiques jouèrent un rôle no
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er au sommet. Or il est clair que ces volontés de
puissance
affrontées — il y a déjà plusieurs États totalitaires — ne peuvent en
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, mais par le chef qui incarne la Nation. D’où la
puissance
sans précédent du transfert qui s’opère du privé au public. Quel Wagn
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et c’est possible — que son éloquent abandon aux
puissances
nocturnes du mythe n’ait été un dernier moyen de le déprimer par un e
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p. 2. 174. Cité par Fred Bérence, Raphaël ou la
puissance
de l’esprit. 175. J. Burckhardt, Die Kultur der Renaissance, VI, p.
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tement, l’explication) entre la communauté et les
puissances
du mythe.
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lante. Poésie toute profane d’apparences, dont la
puissance
de séduction s’accroît encore du fait que l’on ignore la significatio
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le panurgisme esthétique atteint de nos jours une
puissance
inconnue, développée par tous les moyens techniques, et parfois polit
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rions-nous alors à craindre du désir ? Il perd sa
puissance
absolue quand nous cessons de le diviniser. C’est ce qu’atteste l’exp
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ai commis la faute, je n’y étais pas, c’est cette
puissance
fatale qui agissait en lieu et place de ma personne. » Pieux mensonge
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it une sorte de surhomme, de surmâle. Mythe d’une
puissance
indéfinie et qui domine les contingences morales. Mais alors, on peut
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réature humaine, femme ou homme, savoir secret ou
puissance
magique, ou quoi encore ? » (Vita.) (Que n’ai-je connu plus tôt cette
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l cependant ne pouvait la saisir… Elle étalait sa
puissance
d’une extrémité à l’autre et pénétrait toutes choses de sa tendresse.
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ésir exalté par le retard du plaisir exerçait une
puissance
magique. « La chasteté — à condition que les esprits animaux eussent
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forme elle rend sensible la tension infinie de la
puissance
qui transforme, que nul renoncement, nul désastre, ni même la mort n’