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t que celle de travail, de combat spirituel et de
puissance
en marche. Pour reprendre les termes de Sorel, disons qu’on en est ar
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cuments de l’histoire n’est qu’un aspect de notre
puissance
personnelle d’anticipation. L’histoire n’est qu’une prophétie qui se
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ser que cette culture procède dès l’origine de la
puissance
qui porta cette bourgeoisie au pouvoir. Il faut situer vers le début
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voit nantie, elle oublie l’aspect héroïque de la
puissance
qui l’a soulevée. Elle dissocie cette puissance, née de l’union du tr
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a puissance qui l’a soulevée. Elle dissocie cette
puissance
, née de l’union du travail et de la culture, de la main ouvrière et d
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raux, il semble bien qu’il n’ait pas vu que si la
puissance
bourgeoise était promise à la dissociation dès l’instant même de sa v
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ans aucun scrupule les fondements secrets de leur
puissance
. Aussi les écrits des grands clercs du xixe et des débuts du xxe si
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qu’elle met au service d’un idéal à conquérir ses
puissances
conjuguées de critique et de mise en ordre ; mais une fois l’idéal co
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es les plus grossiers de saisir les leviers de la
puissance
matérielle : ces gros et ces petits brasseurs d’affaires ne connaisse
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tribus infimes ? Leurs annales sont celles d’une
puissance
qui ne fut jamais immanente à leurs médiocres conditions. Ce que nous
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ination de toute culture, c’est de concentrer les
puissances
de la nature et de la société dans les mains de l’homme responsable,
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i déchirèrent l’Église aux plus beaux temps de sa
puissance
. Et pourtant, ce que l’on ne peut dire d’une théologie catholique, on
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ersuade que la nouveauté, la grandeur et la vraie
puissance
du communisme russe et du national-socialisme résident tout entières
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es membres du Parti communiste d’une part, sur la
puissance
de l’inquisition intellectuelle, morale et policière exercée par ce P
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-t-il vraiment cette actualité intrinsèque, cette
puissance
animatrice qui doit être, en tous les domaines, le caractère d’une me
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uples vers une réalité commune, communautaire. La
puissance
de cet appel ne saurait être comparée qu’au soulèvement de la Renaiss
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romes. Les premières grandes apparitions de cette
puissance
communautaire ont été les révolutions communistes et nationalistes. 4
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es », et cela est juste. Nous pouvons éprouver la
puissance
de ces nouvelles religions, nous pouvons nous mêler à leurs cérémonie
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re ? Oui, si nous l’affirmons sans l’exercer avec
puissance
, si nous refusons d’aller jusqu’au terme concret de nos pensées. Car
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ne vision. Penser avec les mains, c’est penser en
puissance
d’action, c’est penser dans l’action où l’esprit se voit actuellement
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t sur les choses telles qu’elles vont. Son unique
puissance
est d’impulsion originelle. Pourquoi ont-ils perdu ce pouvoir, perdu
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aire. C’est l’imagination qui forme le langage en
puissance
d’acte ; c’est le style qui traduit le dynamisme de l’esprit formateu
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le geste profond, spécifique et ordonnateur de la
puissance
occidentale99. Mais tout cela resterait fort abstrait, resterait une
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même ce signe de la main — trahisse son immanente
puissance
. On voudrait dire qu’il faut avaler les idées103, et qu’une idée qui
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fronter si l’on n’est pas, dans le même temps, en
puissance
des sources originelles de toute existence. Cette dynamique de l’inc
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ns une certaine mesure, nous la tenons dans notre
puissance
. L’origine de l’histoire, c’est la chute dans le temps. Le péché prem
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reçu, par l’incarnation de l’esprit, une nouvelle
puissance
de salut. C’est l’acte. Car l’acte est adhésion à l’instant éternel ;
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s le concret en situant dans l’homme qui pense en
puissance
d’acte le lieu de la nouvelle mesure communautaire. Enfin j’ai essayé
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e la liberté des personnes et des groupes, non la
puissance
des États-nations. Hors de cela, « la Révolution » n’est que verbiage
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iste à ordonner, dans tous les cas de conflit, la
Puissance
de l’État à la Liberté des personnes, et la Croissance matérielle à u