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imale entre les deux maxima contradictoires de la
puissance
qu’on obtient par l’accumulation quantitative, et du bien-être ; ou d
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ticipation entre deux maxima contradictoires : la
puissance
(apanage de la grande dimension), la liberté (apanage de la petite di
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de chercher une formule alliant la liberté et la
puissance
, à travers des groupements de communes qui se fédèrent volontairement
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e but de la vie d’un homme est de participer à la
puissance
et à la grandeur de sa nation (et je ne fais pas une supposition dans
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dire que le but de l’État, c’est l’État, c’est la
puissance
, du roi ou de l’État qui prendra sa place plus tard, de l’État-nation
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toppe des joueurs de rugby — par les deux grandes
puissances
, la Russie et les États-Unis, et ont dû arrêter la guerre qu’elles ét
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bombe atomique, qui est devenue le symbole de la
puissance
de l’État. 6. Dimension de l’état et problèmes des frontières 2
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pter tout le reste : l’État totalitaire est là en
puissance
. Le comble de la prétention absolutiste se manifeste donc dès le débu
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ffets. 11 novembre 1966 En chemin vers l’idéal de
puissance
, vous trouvez, par exemple, le règne de Louis XIV, le stalinisme, le
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e régimes qui tendent à la liberté plutôt qu’à la
puissance
, les flambées de communisme spirituel dans certaines villes allemande
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On ne peut pas avoir une liberté pure sans aucune
puissance
ni une puissance pure sans aucun élément de liberté. L’Européen norma
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oir une liberté pure sans aucune puissance ni une
puissance
pure sans aucun élément de liberté. L’Européen normal vit quelque par
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oisira plutôt dans la biologie. Celui qui veut la
puissance
se préoccupe surtout d’imposer des cadres rigides et géométriques ; l
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uler plus ou moins entre elles. Celui qui veut la
puissance
se soucie surtout de stabilité, d’ordre ; l’autre se soucie plutôt de
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comme but à la Cité européenne la liberté, non la
puissance
, un mode de vie qualitatif, non pas un niveau de vie déterminé en ter
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en elle-même), elle pourrait devenir la première
puissance
du monde ; certainement la puissance la plus équilibrée, la plus comp
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la première puissance du monde ; certainement la
puissance
la plus équilibrée, la plus complexe, aussi la plus démocratique par
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es autonomies est menacée ? 4. Les finalités :
puissance
ou liberté ? 11 février 1977 Le but de la fédération n’est pas la
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février 1977 Le but de la fédération n’est pas la
puissance
, mais l’autonomie des groupes fédérés, c’est-à-dire la possibilité po
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fédération, une confédération, qui aura juste la
puissance
nécessaire pour les protéger tous et chacun. Donc, le but n’est pas l
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rotéger tous et chacun. Donc, le but n’est pas la
puissance
, la puissance est simplement le moyen de garantir l’autonomie de chac
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t chacun. Donc, le but n’est pas la puissance, la
puissance
est simplement le moyen de garantir l’autonomie de chacun des composa
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nous faut décider si notre union aura pour but la
puissance
collective ou la liberté des personnes. Si nous attribuons pour final
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s pour finalité à la Cité européenne de demain la
puissance
, c’est-à-dire la puissance industrielle et militaire massive d’une so
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uropéenne de demain la puissance, c’est-à-dire la
puissance
industrielle et militaire massive d’une sorte de troisième Grand préo
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évrier 1977 Une fédération n’est pas née pour une
puissance
collective, mais pour des libertés locales, elle n’est pas faite pour
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es libertés locales, elle n’est pas faite pour la
puissance
, mais pour la liberté. Est-elle un pouvoir ? Oui : mais à la limite,
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nom ; et son but n’est pas de créer une nouvelle
puissance
qui, finalement, s’exercerait aux dépens de ses constituants en les u
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hèse État-nation / fédération, ramenée au dilemme
puissance
ou liberté comme finalités de l’union. Mais je ne crois pas qu’il y a
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unité/diversité, liberté/responsabilité, liberté/
puissance
), il ne s’agit pas d’en éliminer un des termes ou de tenter de les fo
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ésout à un choix de finalités. Si l’on choisit la
puissance
, on bâtira un super-État-nation reproduisant, à l’échelle européenne,
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her plus de sens à la vie. Ou encore : vouloir la
puissance
de l’État-nation ou la fécondité des échanges. Réunir toutes les cond
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t en deux mots, choisir comme finalité suprême la
puissance
ou choisir la liberté. 2. Autorité de l’État et liberté 13 déce
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ir est désormais “notre affaire”. Voulons-nous la
puissance
(c’est-à-dire l’organisation militaire de l’État-nation, la compétiti
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d’hui de la manière la plus concrète et urgente :
puissance
ou liberté ? progrès quantitatif ou qualitatif ? croissance ou équili
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réaliser. Le but final n’est pas une plus grande
puissance
de la communauté, mais une plus grande liberté, une meilleure réalisa
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n ; la religion de la croissance et du PNB, de la
puissance
nationale et des disciplines que tout cela implique, qui sont à la fo
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u plus vocation, ou individu fois vocation — à la
puissance
de la cité, considérée comme la somme et le produit de toutes les act
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ir à l’épanouissement des personnes, non pas à la
puissance
de l’État-nation. Voilà le principe fondamental de toute théorie du f
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ir les juges du nouveau pouvoir. 4. Liberté et
puissance
5 novembre 1971 D’un coup, dans le monde occidental industrialisé
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ombreuses autres possibilités, être simplement la
puissance
, ou bien la liberté. Ce sont au fond les deux passions fondamentales
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, mais cela devient très difficile. J’entends par
puissance
, la puissance collective, exercée par un monarque, par un État, par u
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vient très difficile. J’entends par puissance, la
puissance
collective, exercée par un monarque, par un État, par une nation, un
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r qui prime tout quand il y a à choisir, c’est la
puissance
collective, obtenue par l’unité forcée et uniformisée ; pour l’autre
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États totalitaires, obéissent à une politique de
puissance
, par unification forcée, ce qu’on appelle depuis Hitler par « mise au
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tats de l’application de cette politique, soit de
puissance
, soit de liberté. Par exemple, chez tous les penseurs de la tradition
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ci soient au service de l’État. 9 février 1968 La
puissance
et la liberté sont évidemment antinomiques, mais n’en sont pas moins
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e l’homme, le citoyen ; celle qui vise d’abord la
puissance
, celle qui vise la liberté. Ce sont les formes de pensée unitaire et
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t sur l’unité ou sur la diversité. Liberté
Puissance
Tension Dialectique Diversité dans l’union Réduction à l’homogène
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e rechercher le meilleur équilibre possible entre
puissance
et liberté, unitarisme et fédéralisme, soldat politique et citoyen. L
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isme, soldat politique et citoyen. Le choix de la
puissance
est un choix collectif : c’est celui de l’État-nation. Le choix de la
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e de demain. 24 février 1967 Les régions sont, en
puissance
, les vraies autonomies de la fin du xxe et du xxie siècle. La notio
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sance méticuleuse aux rites, ou aux décrets de la
puissance
du roi (prêtre), ou aux lois constituant l’ordre du monde. Il y a fin