1 1988, Inédits (extraits de cours). Communautés, communes
1 imale entre les deux maxima contradictoires de la puissance qu’on obtient par l’accumulation quantitative, et du bien-être ; ou d
2 ticipation entre deux maxima contradictoires : la puissance (apanage de la grande dimension), la liberté (apanage de la petite di
3 de chercher une formule alliant la liberté et la puissance , à travers des groupements de communes qui se fédèrent volontairement
2 1988, Inédits (extraits de cours). Culture
4 e but de la vie d’un homme est de participer à la puissance et à la grandeur de sa nation (et je ne fais pas une supposition dans
3 1988, Inédits (extraits de cours). État-nation
5 dire que le but de l’État, c’est l’État, c’est la puissance , du roi ou de l’État qui prendra sa place plus tard, de l’État-nation
6 toppe des joueurs de rugby — par les deux grandes puissances , la Russie et les États-Unis, et ont dû arrêter la guerre qu’elles ét
7 bombe atomique, qui est devenue le symbole de la puissance de l’État. 6. Dimension de l’état et problèmes des frontières 2
8 pter tout le reste : l’État totalitaire est là en puissance . Le comble de la prétention absolutiste se manifeste donc dès le débu
4 1988, Inédits (extraits de cours). Europe
9 ffets. 11 novembre 1966 En chemin vers l’idéal de puissance , vous trouvez, par exemple, le règne de Louis XIV, le stalinisme, le
10 e régimes qui tendent à la liberté plutôt qu’à la puissance , les flambées de communisme spirituel dans certaines villes allemande
11 On ne peut pas avoir une liberté pure sans aucune puissance ni une puissance pure sans aucun élément de liberté. L’Européen norma
12 oir une liberté pure sans aucune puissance ni une puissance pure sans aucun élément de liberté. L’Européen normal vit quelque par
13 oisira plutôt dans la biologie. Celui qui veut la puissance se préoccupe surtout d’imposer des cadres rigides et géométriques ; l
14 uler plus ou moins entre elles. Celui qui veut la puissance se soucie surtout de stabilité, d’ordre ; l’autre se soucie plutôt de
15 comme but à la Cité européenne la liberté, non la puissance , un mode de vie qualitatif, non pas un niveau de vie déterminé en ter
16 en elle-même), elle pourrait devenir la première puissance du monde ; certainement la puissance la plus équilibrée, la plus comp
17 la première puissance du monde ; certainement la puissance la plus équilibrée, la plus complexe, aussi la plus démocratique par
5 1988, Inédits (extraits de cours). Fédéralisme
18 es autonomies est menacée ? 4. Les finalités : puissance ou liberté ? 11 février 1977 Le but de la fédération n’est pas la
19 février 1977 Le but de la fédération n’est pas la puissance , mais l’autonomie des groupes fédérés, c’est-à-dire la possibilité po
20 fédération, une confédération, qui aura juste la puissance nécessaire pour les protéger tous et chacun. Donc, le but n’est pas l
21 rotéger tous et chacun. Donc, le but n’est pas la puissance , la puissance est simplement le moyen de garantir l’autonomie de chac
22 t chacun. Donc, le but n’est pas la puissance, la puissance est simplement le moyen de garantir l’autonomie de chacun des composa
23 nous faut décider si notre union aura pour but la puissance collective ou la liberté des personnes. Si nous attribuons pour final
24 s pour finalité à la Cité européenne de demain la puissance , c’est-à-dire la puissance industrielle et militaire massive d’une so
25 uropéenne de demain la puissance, c’est-à-dire la puissance industrielle et militaire massive d’une sorte de troisième Grand préo
26 évrier 1977 Une fédération n’est pas née pour une puissance collective, mais pour des libertés locales, elle n’est pas faite pour
27 es libertés locales, elle n’est pas faite pour la puissance , mais pour la liberté. Est-elle un pouvoir ? Oui : mais à la limite,
28 nom ; et son but n’est pas de créer une nouvelle puissance qui, finalement, s’exercerait aux dépens de ses constituants en les u
29 hèse État-nation / fédération, ramenée au dilemme puissance ou liberté comme finalités de l’union. Mais je ne crois pas qu’il y a
30 unité/diversité, liberté/responsabilité, liberté/ puissance ), il ne s’agit pas d’en éliminer un des termes ou de tenter de les fo
31 ésout à un choix de finalités. Si l’on choisit la puissance , on bâtira un super-État-nation reproduisant, à l’échelle européenne,
6 1988, Inédits (extraits de cours). Liberté
32 her plus de sens à la vie. Ou encore : vouloir la puissance de l’État-nation ou la fécondité des échanges. Réunir toutes les cond
33 t en deux mots, choisir comme finalité suprême la puissance ou choisir la liberté. 2. Autorité de l’État et liberté 13 déce
34 ir est désormais “notre affaire”. Voulons-nous la puissance (c’est-à-dire l’organisation militaire de l’État-nation, la compétiti
7 1988, Inédits (extraits de cours). Moyens et fins
35 d’hui de la manière la plus concrète et urgente : puissance ou liberté ? progrès quantitatif ou qualitatif ? croissance ou équili
36 réaliser. Le but final n’est pas une plus grande puissance de la communauté, mais une plus grande liberté, une meilleure réalisa
8 1988, Inédits (extraits de cours). La personne
37 n ; la religion de la croissance et du PNB, de la puissance nationale et des disciplines que tout cela implique, qui sont à la fo
38 u plus vocation, ou individu fois vocation — à la puissance de la cité, considérée comme la somme et le produit de toutes les act
9 1988, Inédits (extraits de cours). Politique
39 ir à l’épanouissement des personnes, non pas à la puissance de l’État-nation. Voilà le principe fondamental de toute théorie du f
40 ir les juges du nouveau pouvoir. 4. Liberté et puissance 5 novembre 1971 D’un coup, dans le monde occidental industrialisé
41 ombreuses autres possibilités, être simplement la puissance , ou bien la liberté. Ce sont au fond les deux passions fondamentales
42 , mais cela devient très difficile. J’entends par puissance , la puissance collective, exercée par un monarque, par un État, par u
43 vient très difficile. J’entends par puissance, la puissance collective, exercée par un monarque, par un État, par une nation, un
44 r qui prime tout quand il y a à choisir, c’est la puissance collective, obtenue par l’unité forcée et uniformisée ; pour l’autre
45 États totalitaires, obéissent à une politique de puissance , par unification forcée, ce qu’on appelle depuis Hitler par « mise au
46 tats de l’application de cette politique, soit de puissance , soit de liberté. Par exemple, chez tous les penseurs de la tradition
47 ci soient au service de l’État. 9 février 1968 La puissance et la liberté sont évidemment antinomiques, mais n’en sont pas moins
48 e l’homme, le citoyen ; celle qui vise d’abord la puissance , celle qui vise la liberté. Ce sont les formes de pensée unitaire et
49 t sur l’unité ou sur la diversité. Liberté Puissance Tension Dialectique Diversité dans l’union Réduction à l’homogène
50 e rechercher le meilleur équilibre possible entre puissance et liberté, unitarisme et fédéralisme, soldat politique et citoyen. L
51 isme, soldat politique et citoyen. Le choix de la puissance est un choix collectif : c’est celui de l’État-nation. Le choix de la
10 1988, Inédits (extraits de cours). Région
52 e de demain. 24 février 1967 Les régions sont, en puissance , les vraies autonomies de la fin du xxe et du xxie siècle. La notio
11 1988, Inédits (extraits de cours). Révolution
53 sance méticuleuse aux rites, ou aux décrets de la puissance du roi (prêtre), ou aux lois constituant l’ordre du monde. Il y a fin