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x des défaitismes les plus subtils comme des plus
pures
et loyales inquiétudes. Sincérité, le mal du siècle. Tout le monde en
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en conséquences matérielles. Ce n’est plus l’élan
pur
que je décris : c’est un élan freiné dans mon esprit, c’est le frein
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en ne paraît plus sinistre à la sincérité presque
pure
de cet âge. Mais il le faut dépasser.) Si j’en crois l’intensité d’
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iarité dramatique qui cerne le mystère d’un trait
pur
. Il semble que Cocteau ait réalisé là exactement ce qu’il voulait. Et
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vant une fois de plus que l’atmosphère de l’« art
pur
» n’est pas respirable. Il ne manque rien à Orphée, sinon peut-être c
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iches de craie où t’accoudant tu mêles tes traits
purs
et labiles à l’immobilité miraculeuse des statues7. » Il s’agit bien
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1927)l La maîtresse d’École Au printemps
pur
comme une joue, École errait, École suivait une femme dans les rues t
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qu’on ne l’écrive pas, même en pensée. La poésie
pure
écrite est inconcevable : cela consisterait dans l’expression directe
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de nous-mêmes qui se plaît à disserter de poésie
pure
. Edmond Jaloux préside à cette agape dont il m’est impossible de nomm
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rai clerc. Non pas cet être détaché, déraciné, de
pure
raison, que l’auteur d’un pamphlet fameux voulait nous donner pour mo
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un vide. « Énigme, ce qui naît d’un jaillissement
pur
! Et par le chant lui-même à peine dévoilé ». Groupes de mots émergea
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cations, noms sacrés de l’Ionie — était-elle plus
pure
et plus vraie, plus efficace que le discours lui-même des grands Hymn
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un infini défini à un infini plus général », du «
pur
» au « multiple » et « de l’Esprit au signe », transition qui relève
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nte — éclatant, verdoyant, lumineux ou en fête —,
purs
états d’âmes ! Ces « jardins de Bordeaux, là-bas », cette Palmyre en