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plus, puisque déjà des pénuries d’énergie, d’air
pur
et d’eau s’annoncent dans les pays industriels, cependant que la fami
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sible qu’à la fin du siècle, le problème de l’eau
pure
et abondante dépasse en importance tous les autres problèmes », écrit
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us près du cœur et de l’esprit que de l’intellect
pur
et de ses ordinateurs ; plus près de la Sagesse que du pouvoir. Car l
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uatre-vingt-quatre fois plus, c’est de la démence
pure
. Mais la dernière réponse citée, à savoir : « Nous n’avons pas le cho
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sens originel, le « pays de nulle part », donc de
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théorie. C’est une économie qui opère dans un état d’apesanteur socia
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des prévisions en général, du point de vue de la
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connaissance. Mais sans elle, tout demeure théorique et virtuel. L’ag
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passer les âges, comme immortel, c’est l’angoisse
pure
qui m’étreint : plus personne avec qui partager. Seul et dernier au m
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. Mais si l’aimée subsiste devant moi, l’angoisse
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devient bonheur sans fin, dialogue. L’enfer, c’est l’absence des autr
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ente, naïveté politique, ignorance économique, et
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et simple opportunisme ». J’emprunte ces lignes à un ouvrage que je
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’Espagne, d’Autriche ni de Royaume-Uni ? Désastre
pur
, et proprement inconcevable ! Perte d’immenses trésors de souvenirs e
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a moindre chance qu’on le voie jamais. » Désastre
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? Mais demandez-vous ceci : qu’est-ce que les habitants de l’Hexagone