1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 donné : l’élite sociale, la société courtoise et pénétrée de chevalerie du xiie et du xiiie siècle. Ce groupe est à vrai dire
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
2 nces profondes dans la mentalité du siècle. Elles pénétrèrent bientôt la société féodale. Celle-ci ne connaissait pas toujours l’or
3 es couches profondes de l’humanité d’Occident ont pénétré les conceptions platoniciennes. L’homme le plus simple use couramment
4 erain du Languedoc, écrit en 1177 : « L’hérésie a pénétré partout. Elle a jeté la discorde dans toutes les familles, divisant l
5 néo-platonisme était par ailleurs très fortement pénétré de représentations mythiques iraniennes. En particulier, il empruntai
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
6 là, et ne poursuit point ; de même celui qui est pénétré d’amour puise la vie dans la contemplation de sa dame, car ainsi il s
7 devenues sans force sur leurs cœurs. Les initiés pénètrent au monde nocturne de l’extase libératrice. Et le jour qui revient ave
8 Sainte Thérèse : « De ce désir qui en un instant pénètre l’âme entière naît une douleur qui la transporte au-dessus d’elle-mêm
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
9 lle notre conception du Moyen Âge en nous faisant pénétrer par mille chemins dans la vie quotidienne des bourgeois et des nobles