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enue qu’au prix de telles dépenses et d’une telle
quantité
de spécialistes neutralisant l’originalité les uns des autres : elle
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noyés par une civilisation qui ne respecte que la
quantité
; le dollar sera roi, etc. » Toutes ces méfiances sont sans fondement
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e même enfin, si nous sommes un jour noyés par la
quantité
, ce ne sera pas la faute de la quantité, mais bien de l’abaissement d
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és par la quantité, ce ne sera pas la faute de la
quantité
, mais bien de l’abaissement de notre qualité. En résumé, ce que l’on