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système de valeurs spécifique ? C’est à ces deux
questions
que je vais tenter de répondre. ⁂ La Suisse n’existe que depuis cent-
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de la sottise aussi, autant qu’ailleurs. La seule
question
qu’on se pose est de savoir quelles sont les traditions qui doivent c
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ne selon sa vocation. Ce ne serait pas une simple
question
de tolérance, vertu négative et qui naît le plus souvent du scepticis
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voir si l’Europe fédérée est elle-même neutre, la
question
se ramène à celle des alliances qu’elle peut être amenée à conclure a
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l’adultère ? la passion ? le couple ? Toutes ces
questions
qui vous préoccupent, Claude Berthod les pose au célèbre philosophe d
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ns demandé à Denis de Rougemont de répondre à ces
questions
qui sont dans le cœur de toutes les femmes. »
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tien au cours duquel nous lui avons posé quelques
questions
qui nous tenaient particulièrement à cœur. Lors de votre conférence :
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manière dont nous nous serons préparés. Toute la
question
est là. Pour l’instant, il faut reconnaître que l’automation pose de
9
L’unité de base étant de la sorte identifiée, la
question
qui se pose est de savoir comment certaines cités ou certaines région
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certaines limitations de son œuvre. IV À la
question
de savoir ce que les Suisses romands peuvent apporter de meilleur à l
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l’avons vu, au génie de la culture en Europe, la
question
qui se pose maintenant est de savoir comment nous saurons illustrer n
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tits États. « Aux jacobins, on agita gravement la
question
du fédéralisme, et on souleva mille fureurs contre les girondins. » T
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le unité de base étant de la sorte identifiée, la
question
qui se pose est de savoir comment certaines cités ou certaines région
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6. Allemagne 0,71 19. Russie et URSS 0,03 À la
question
de savoir ce que les Suisses peuvent apporter de meilleur à la cultur
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enève, des études européennes, c’est parce que la
question
de l’union de l’Europe se trouve posée à cette génération, et parce q
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critique et à la recherche objective. Certes, la
question
européenne n’est pas une question académique ! Elle n’appartient pas
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ive. Certes, la question européenne n’est pas une
question
académique ! Elle n’appartient pas à un passé qu’il suffirait de décr
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fficiels, et au seul enthousiasme des militants ?
Question
globale, économique et politique au premier chef, elle implique en ré
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eine 4 % des terres émergées de la planète. Cette
question
européenne constituant l’objet central de notre enseignement et de no
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ule existence du Marché commun. Telle est donc la
question
européenne. Formulée tout d’abord par des intellectuels et des utopis
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s, qu’il faudra bien donner un jour prochain à la
question
européenne. En vue de cerner et de choisir au mieux l’objet de nos ét
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ions théoriquement imaginables ou pratiquement en
question
de nos jours. Je n’en vois guère que trois, qui se distinguent nettem
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à son gré la société. Dans les discussions sur la
question
européenne, cette utopie joue un rôle non négligeable, fût-ce au seul
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rus depuis 1945, et qui ont posé, précisément, la
question
européenne. Elle supposerait en tout cas un retrait, éventuellement i
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bien celui que l’on croit ? Pour répondre à cette
question
, il conviendrait d’examiner, après Léon Duguit, Preuss, Lapradelle, C
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les perspectives d’une solution fédéraliste de la
question
européenne. Le groupe doit se réunir pour la première fois dans quelq
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date des très nombreux ouvrages consacrés à notre
question
après la Seconde Guerre mondiale — c’est le Fédéralisme contemporain,
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yser les deux grandes origines antinomiques de la
question
européenne, l’empire et les nations. Dante écrit son traité au moment
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de la guerre d’Algérie, etc.). Il n’est donc pas
question
que la Suisse prenne la moindre initiative visant à l’union européenn
30
e l’industrie suisse, cause directe du « mal » en
question
, si c’en est un. Mais il y a plus. Les traits typiques de ce pays ont
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tré dans notre salle de cours, il nous posa cette
question
simple : Qu’est-ce que l’énergie ? Et après nous avoir laissé patauge
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quoi, je me vois réduit à poser quelques grandes
questions
des plus naïves, et qui ne portent pas sur tel ou tel problème précis
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s sur le phénomène technique en général. Première
question
: Comment s’explique le fait patent que la technique moderne — metton
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psyché occidentale ? J’ai tenté de répondre à ces
questions
dans un livre intitulé L’Aventure occidentale de l’homme , et je me
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e l’homme. II Mais ici se pose une deuxième
question
: les étapes de la technique ainsi définie dans ses motivations n’ont
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s retombées mortelles. J’entendais débattre cette
question
, l’autre jour, aux Rencontres de Genève, et je songeais que ces armes
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re froide au temps de Staline ? Il semble hors de
question
que l’Occident puisse nourrir les milliards d’affamés qui se multipli
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objectif ? (horribile dictu !) C’est la dernière
question
que je voudrais non pas traiter, le temps me manque, mais évoquer par
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e manque, mais évoquer par trois exemples. Sur la
question
de savoir si la technique favorise ou non l’équilibre entre les diffé
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ncert discordant de nationalismes séniles. Sur la
question
de savoir si la technique favorise ou tend à détruire l’équilibre ent
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re dans cette génération. Enfin, il y a la grande
question
de savoir si la technique enchaîne l’individu ou le libère, si nous s
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ines ou si elles nous servent, et surtout — cette
question
résumant toutes les autres — si l’humanité saura maîtriser la bombe a
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n, voire à l’Élysée, la bombe nous anéantira… Ces
questions
sont très populaires, non seulement dans notre presse et chez les pub
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econsidérer d’une manière tout à fait concrète la
question
des vraies fins de notre vie et de la vraie nature de l’homme. Ne ser
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féminin… — Mais Dieu est féminin, il n’y a pas de
question
! — Comment le savez-vous ? — D’abord parce que je l’aime. Alors ? Vo
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s. Dans l’un des derniers ouvrages consacrés à la
question
européenne, Europa zwischen Idéologie und Verwirklichung, du prof. Ka
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iers de nos pays ? Oui, mais ce sera le livre des
questions
réelles éveillant le sens critique et le besoin d’invention, tandis q
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s : notre « Petit livre rouge » posera toutes les
questions
qui résultent de l’examen objectif de la situation, et nous sommes bi
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scussion générale, je voudrais poser une dernière
question
à M. de Rougemont. Vous avez parlé de l’exode dont une part est un éc
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échange, mais aussi une part est dommageable. La
question
est celle-ci : quelles mesures prendre pour empêcher l’exode quand il
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cheurs à aller ailleurs ? M. de Rougemont : Votre
question
revient à savoir que faire pour empêcher cet échange à sens unique qu
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ectuels qui attirent. Ce n’est pas uniquement une
question
financière. Naturellement, la question financière constitue un préala
53
uement une question financière. Naturellement, la
question
financière constitue un préalable. Si vous ne payez pas les gens suff
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choses financières, il ne s’agit pas non plus de
questions
d’emploi, ou pas uniquement. Il s’agit de créer un climat intellectue
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sens simpliste d’autrefois. C’est maintenant une
question
d’échanges, de “flux” diraient les scientifiques : “il faut chercher
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riomphe du fédéralisme intégral. Depuis qu’il est
question
d’une entrée éventuelle de la Suisse dans le Marché commun, j’entends
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aussi profonde ? Nous avons posé cette troublante
question
au grand écrivain Denis de Rougemont. Depuis plus de vingt ans, il a
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ois, on épouse ses complexes D’abord la grande
question
: pensez-vous que le deuxième mariage soit plus heureux que le premie
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ieurs années de noviciat. D’ailleurs il n’est pas
question
d’essais multiples. Pour avoir une valeur expérimentale il faut qu’un
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ttribution du Grand Prix littéraire de Monaco. La
question
, on le voit reste toujours d’actualité. Nous avons donc profité de ce
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a dialectique de la personne, mais uniquement les
questions
de rendement industriel, ou de rentabilité. Les jeunes sentent cela,
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ables, et nous sommes obligés de nous poser cette
question
pour la première fois dans l’évolution humaine : Comment faire une co
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sent, si peu que l’on y prête de sensibilité. Pas
question
de s’y préparer ni de rien combiner à l’avance : la découverte de l’i
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l’autre à des formules de type fédéraliste. À la
question
que je me posais sur la prophétie proudhonienne, voici donc une premi
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ordinateurs ».] Je voudrais d’abord répondre à la
question
sur confédération ou fédération. Je crois que toute l’histoire prouve
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dissociation de la Suisse, on me pose souvent la
question
. Il faudrait s’entendre sur ce qu’on appelle région. Je ne m’étendrai
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on appelle région. Je ne m’étendrai pas sur cette
question
complexe, mais je crois que la plupart des craintes que l’on a, en pa
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devons y travailler d’une manière active. Sur la
question
précise des ordinateurs, je peux vous citer un exemple tiré de l’expé
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tite ville en la coupant en deux, par exemple. La
question
s’est posée de la priorité à établir dans le tracé de ces routes : il
70
ix des travaux d’après la nature du sous-sol, les
questions
de tourisme, de main-d’œuvre, d’aménagement urbanistique, etc. C’étai
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« actuels » écrivent mal, ou sont plats. Mais la
question
de son « actualité » reste intéressante en ceci que Gide se persuadai
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vaient faire naître, ou développer et presser la
question
des secours à donner aux militaires blessés en temps de guerre… et si
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saurait être plus prudent, plus modéré : il n’est
question
que « de quelques pas » et non pas de révolutionner mais simplement «
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ve dans cette évolution : le texte de 1872 sur la
question
des francs-tireurs : Héros ou bandits ? Un code de la guerre serait
75
ons diplomatiques spéciales, traitant chacune une
question
particulière », on ne peut manquer de sentir ici qu’un doute profond