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istence de ses interlocuteurs ? C’est la première
question
. Or, il faut dialoguer, j’en suis convaincu depuis une cinquantaine d
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aine d’années que j’écris et que je parle sur des
questions
européennes. Pourquoi est-ce qu’il nous faut à tout prix un dialogue
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personne au fédéralisme redevient aujourd’hui une
question
pertinente ? Parce que l’individualisme déchaîné, l’égoïsme et l’abse
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Gasset que je trouve superbement adaptée à votre
question
: « Être de gauche ou de droite, c’est choisir une des innombrables m
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ots soulignés ont été omis. 2. À l’avant-dernière
question
concernant la menace pour la Suisse que constitue le surgénérateur de
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é de Genève et François Chaudet s’intéressent aux
questions
soulevées par l’actuelle vague de pacifisme. Peut-être est-ce l’occas
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ser de toutes sortes de manières, librement, — la
question
étant uniquement celle de leur représentation. La pluralité des allég
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Réponses à des
questions
de Marcel Proust et de Michel Moret (1983)v Qui auriez-vous aimé ê
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ersonne ne dispose des moyens de répondre à cette
question
. Si le Christ revenait sur terre et plus précisément en Suisse, pense
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l ne s’agit nullement dans tout cela de « simples
questions
de mots », mais d’attitudes et de positions fondamentales. Si l’on n’
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tive est incompatible avec l’identité suisse. La
question
concrète est donc celle de savoir — à quel type d’Europe unie la Suis
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l’Europe à la veille de sa grande catastrophe. La
question
qui se posait alors à l’inquiétude de trop rares observateurs était l
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communistes et les fascistes, a su répondre à la
question
centrale du siècle, qui est religieuse au sens élémentaire de ce term
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la pire réponse possible, mais une réponse, à la
question
centrale de notre temps. Tel fut son vrai Pouvoir, et j’écrivais alor
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ds la guerre nucléaire. Aujourd’hui, il n’est pas
question
d’autre chose. Tous nos États-nations préparent la guerre. Non seulem
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: on ne peut pas poser d’avance la réponse à des
questions
aussi complexes, mais on peut trouver, on peut surmonter ces complexi
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résoudrait beaucoup de difficultés, notamment la
question
: « Où situer le pouvoir politique dans une région à géométrie variab
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te et communautaire. Dès le début, il n’était pas
question
de séparer la personne de la communauté, c’est-à-dire, le particulier
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la construction politique de l’Europe. Il y a les
questions
ethniques — de langues — il y a les questions politiques — comme les
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les questions ethniques — de langues — il y a les
questions
politiques — comme les frontières — et les questions économiques, pou
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stions politiques — comme les frontières — et les
questions
économiques, pour n’en prendre que trois. J’ai trouvé, et vous pouvez
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ci que nous trouverons des réponses à ce genre de
questions
. D’ailleurs, certaines phrases de Strassoldo me paraissent fort ambig
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role de l’entreprise du fédéralisme européen. Pas
question
une seconde que je me dérobe, étant l’auteur du concept d’engagement
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s chances de succès, allez-vous me dire ? À cette
question
, je réponds depuis que j’agis, et au nom de l’Europe fédérale fondée
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l à la chaîne mental ». Tout cela dit, demeure ma
question
centrale, formulée il y a cinquante ans, à propos des résultats de la
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technologie occidentale : liberté ou chômage ? La
question
n’a toujours pas reçu de réponse. L’informatisation de l’industrie n’
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dramatique la nécessité vitale d’une réponse à ma
question
. Nous sommes mis au défi d’inventer une nouvelle conception du travai
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t comme on lui fait observer qu’il remet ainsi en
question
la nature humaine, il répond qu’en effet, « comme l’a fait la religio
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r l’avenir de l’informatique en vous rappelant la
question
judicieuse qu’un des premiers critiques des médias, Raymond Williams,
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énéfice de qui ? et pour quel but final ? » Cette
question
des Finalités de l’informatique est la seule qui mérite vraiment nos
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arce que small permet seul, et très vite pour des
questions
de dimensions, l’autonomie, l’autosuffisance en cas de nécessité, la
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unistes, sous les acclamations d’Aragon. La seule
question
sérieuse était de choisir non pas entre une gauche et une droite mal
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e temps d’arriver au bistrot. Je dis : « La belle
question
! Difficile de répondre… Attendez… Michaux est très mince… » Je lui p
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on, la création des grands États européens) ; les
questions
religieuses, qui mettent en cause le principe même de l’autorité… ; l
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fou juste un mois après avoir reçu cette lettre ?
Question
vraiment tragique. Je redécouvrais donc avec Kierkegaard le protestan
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cela, et qui avait mis au point sur ce sujet une
question
d’une miraculeuse simplicité : « If the end does not justify the mean
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not justify the means, then what does ? »… Belle
question
socratique ! Kant avait absolument tort avec l’impératif catégorique,
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ture. Et tout ce que j’écris — c’est pour moi une
question
de rigueur — doit avoir une valeur littéraire à mes yeux. Vous disiez
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passage de Par-delà le bien et le mal dont il est
question
est intégralement cité dans Vingt-huit siècles d’Europe (Paris : Pay
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. J’oserai donc aborder sans aucune précaution la
question
que beaucoup se posent à mon sujet : — Pourquoi s’occupe-t-il tant d’
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n esprit : cette formule se trouvait répondre aux
questions
les plus lancinantes que me posaient alors l’époque, les carences de
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promoteurs du nucléaire ? Attention à ce genre de
question
. Nous ne sommes pas là pour prévoir l’avenir, mais pour le faire. Nou