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prophétique d’André Philip ont posé au régime la
question
de confiance ; et qu’ils l’ont posée sur un plan où nul arrêt de la j
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t tirer de ces débats une conclusion précise : la
question
du service civil est ouverte. Une carrière pour les réformistes ! Mai
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que, demain, l’imitera, et même la France, si les
questions
économiques et sociales y prennent un jour l’acuité qu’elles ont, dep
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que seul, aujourd’hui, il prétend résoudre cette
question
, d’ailleurs essentiellement chrétienne : « Quelle est votre attitude
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’elle dût s’occuper de la durée du travail, de la
question
des salaires, etc. Cette carence subite dans le domaine économique vi
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ation, un fauteur de nouveauté pure, un poseur de
questions
, un « prochain » et non pas un problème à résoudre à distance ; en un
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ans la banalité aimable. Son livre pose une seule
question
: quel dessein vaguement subversif peut bien poursuivre l’éditeur qui
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éraire d’aujourd’hui. Voici un roman qui pose les
questions
les plus tragiques de l’heure avec une puissance dont on cherche en v
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n réalité, sous une forme à peine allégorique, la
question
des relations qu’entretiennent notre cité et la nation des clercs. C’
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l avoir un lieu particulier ? De la réponse à ces
questions
dépendront l’existence et l’emplacement du Palais de l’Esprit. Il est
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du Palais de l’Esprit. Il est clair que de telles
questions
sont le fait d’une époque barbare ; d’une époque où l’esprit n’est pl
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ut-être triste. » Réponse qui n’est encore qu’une
question
déguisée. Le soupçon de Renan trahit un doute, et un doute sur la vér
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b à tous ceux qui voudront discuter en public les
questions
suivantes : a) définition de la culture, de ses moyens et de son but
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os défaut pratique : il conduit à poser de vraies
questions
sérieuses. Il est donc irréalisable sous un patronage officiel. Expos
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. « Nous éprouvons une sorte de honte à poser les
questions
philosophiques : la tâche du philosophe sincère est, de nos jours, su
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s par cette voix. Celui qui se refuse à poser les
questions
dernières, s’autorise à borner sa vision à son acte. Voilà l’utile ;
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’est là sa vertu. Mais notre siècle pose d’autres
questions
, des questions que Ramuz ne veut pas esquiver. Voici le temps où tout
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u. Mais notre siècle pose d’autres questions, des
questions
que Ramuz ne veut pas esquiver. Voici le temps où tout homme se voit
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udrait dire. Maintenant il y va de notre tout. La
question
dernière est posée : celle de notre destination. Le silence perd alor
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embrassement n’est qu’une question51 ». Mais une
question
ne peut être sérieuse que si l’on sait que la réponse existe… Il fall
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roblèmes spirituels qui sont les nôtres. Toute la
question
est de savoir si nous les aurons résolus, dans nos catégories occiden
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pas été résolus pour autant. Vous avez reculé la
question
de dix ans ou d’un siècle, je ne sais ; mais ce que je sais, c’est qu
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s premières expériences nous enseignent. Toute la
question
est alors de savoir si nous saurons utiliser ces avantages, et le tem
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ommune à tous les ordres et qui les harmonise. La
question
de la mesure d’une civilisation est sans nul doute la question mère d
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a mesure d’une civilisation est sans nul doute la
question
mère de toute problématique culturelle. Mais une mesure n’est en soi
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en Suisse, en Belgique, en Scandinavie, il n’est
question
que du « désarroi général ». Liberté d’opinion, c’est pratiquement li
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ins. En Russie, en Allemagne, en Italie, il n’est
question
que de renaissance et de construction. « Dictature », « tyrannie », «
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nse — la plus orgueilleuse sans doute — contre la
question
personnelle que pose à l’homme pécheur le Dieu-homme. Mais ceci dit,
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ttérature d’aujourd’hui pose à chaque instant des
questions
qui ne sont pas du tout littéraires. Le monarque caduc c’est la cultu
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ramenés à tout propos, bon gré mal gré, aux mêmes
questions
: pourquoi écrivez-vous ? et pour quoi, et pour qui ? Or on ne peut p
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pour quoi, et pour qui ? Or on ne peut poser ces
questions
-là que si l’on sait, pour son compte, y répondre. Elles jaillissent d
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up moins menacée en France ? Est-ce seulement une
question
de régime ? Est-ce d’abord une question politique ? Culture à gauche,
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ement une question de régime ? Est-ce d’abord une
question
politique ? Culture à gauche, brutalité stupide à droite, — ou invers
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imposent de cette manière au déprimé fiévreux. La
question
est ailleurs : va-t-on se vanter d’être si faible que de céder à tout
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un peu tard. Peut-être posons-nous déjà d’autres
questions
, qu’il n’a pas devinées, ou qu’il a négligées parce qu’elles lui para
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pas eu le temps de s’apercevoir que « les grandes
questions
gisent dans la rue », comme disait Nietzsche. Nous disons « existence
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spirituellement actif du pays. Il ne saurait être
question
de ce cliché importé d’URSS ou d’Allemagne hitlérienne : « retrouver
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se, c’est trahir cette « attente ardente », cette
question
angoissée des bêtes et des plantes que l’apôtre a su percevoir. C’est
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C’est bien plus grave. C’est aussi grave que les
questions
d’argent. C’est un fait d’ordre religieux. Et la colère de Simard en
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donner à la littérature, dans Esprit , c’est une
question
qui se pose à nos lecteurs, parce que, sous une forme plus générale,
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eurs, parce que, sous une forme plus générale, la
question
de la littérature en soi et de la place qu’il conviendrait de lui don
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aussi le produit d’une époque. C’est pourquoi la
question
d’une littérature personnaliste reste pour nous inséparable de la cré
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ie qui la soutiennent, et qu’elle maintienne. (La
question
se posera un jour aussi lointain peut-être que certains le désirent…)
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ffort est réel et aboutit — ce qui est encore une
question
— il aboutit évidemment à la négation absolue du personnalisme, chrét
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c’est aux Suisses, finalement, que Ramuz pose ces
questions
; mais que s’il garde en même temps le souci d’expliquer qui nous som
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histoire : le point de vue du personnalisme. ⁂ La
question
de la neutralité est peut-être la plus importante qu’il faille poser
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ce que la Suisse se figure justement que c’est la
question
qui ne se pose pas. Que nous le voulions ou non, notre neutralité car
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des faits que l’on a rappelés dans ce numéro, des
questions
qu’on y a posées, des thèses qu’on y a soutenues. La géographie et l’
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ralité. Elle se permet de prendre parti, dans les
questions
de politique étrangère, ou de politique intérieure du voisin, avec d’
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r par un prêtre. 2. — Contraintes sociales. Les
questions
de rang, de sang, d’intérêts familiaux, et même d’argent, sont en tra
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aut pourtant que quelque chose se fasse, la seule
question
qui se pose à l’historien, au sociologue, c’est de savoir quel mécani
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plus agressive, sans doute, puisqu’il n’est plus
question
pour nous de recourir au bras séculier. (Sans compter que la Croisade
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nte l’exigence inhumaine de perfection, comme une
question
perpétuelle, un aiguillon qui empêche de retomber sous le coup des ob
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qu’un discours vienne mettre ses délais entre la
question
qu’elles nous posent et la réponse de notre vie.) ⁂ Le second thème q
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pensais : ce n’est point le sacrement qui « fait
question
», selon M. Lavaud, mais bien son fondement biblique. À propos de la
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pas assez exalté. Mais alors, je vous pose cette
question
: si j’avais exalté davantage tout ce reste, mes conclusions, à votre
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septembre 1946)at Je ne vois pas le divorce en
question
. Pour qu’il y ait divorce, il faut qu’il y ait eu mariage. Or l’Églis
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orrent de clichés qui n’ont aucun rapport avec la
question
, et des affirmations grandiloquentes d’attachement indéfectible aux p
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triotiques ou républicaines jusqu’à la mort. Plus
question
du savon. Brossez-vous. Nous ne posons pas de question de principe à
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ion du savon. Brossez-vous. Nous ne posons pas de
question
de principe à propos de ce produit utile et hygiénique. S’il y a cris
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s la répartition de l’article, nous étudions deux
questions
, et prenons les mesures nécessaires pour les résoudre, non pas pour q
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des chants et des beuveries. On dit que c’est la
question
de l’Asie qui nous sépare. Car en réalité, nous touchons à l’Asie. No
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offrent plus d’aspérités et ne posent plus aucune
question
; de mécanismes qui répondent à leur place ; et de musiques qui empêc