1 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
1 prophétique d’André Philip ont posé au régime la question de confiance ; et qu’ils l’ont posée sur un plan où nul arrêt de la j
2 t tirer de ces débats une conclusion précise : la question du service civil est ouverte. Une carrière pour les réformistes ! Mai
2 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
3 que, demain, l’imitera, et même la France, si les questions économiques et sociales y prennent un jour l’acuité qu’elles ont, dep
4 que seul, aujourd’hui, il prétend résoudre cette question , d’ailleurs essentiellement chrétienne : « Quelle est votre attitude
5 ’elle dût s’occuper de la durée du travail, de la question des salaires, etc. Cette carence subite dans le domaine économique vi
3 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
6 ation, un fauteur de nouveauté pure, un poseur de questions , un « prochain » et non pas un problème à résoudre à distance ; en un
4 1935, Esprit, articles (1932–1962). Maurice Meunier, Idoles (février 1935)
7 ans la banalité aimable. Son livre pose une seule question  : quel dessein vaguement subversif peut bien poursuivre l’éditeur qui
5 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
8 éraire d’aujourd’hui. Voici un roman qui pose les questions les plus tragiques de l’heure avec une puissance dont on cherche en v
6 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
9 n réalité, sous une forme à peine allégorique, la question des relations qu’entretiennent notre cité et la nation des clercs. C’
10 l avoir un lieu particulier ? De la réponse à ces questions dépendront l’existence et l’emplacement du Palais de l’Esprit. Il est
11 du Palais de l’Esprit. Il est clair que de telles questions sont le fait d’une époque barbare ; d’une époque où l’esprit n’est pl
12 ut-être triste. » Réponse qui n’est encore qu’une question déguisée. Le soupçon de Renan trahit un doute, et un doute sur la vér
13 b à tous ceux qui voudront discuter en public les questions suivantes : a) définition de la culture, de ses moyens et de son but
14 os défaut pratique : il conduit à poser de vraies questions sérieuses. Il est donc irréalisable sous un patronage officiel. Expos
15 . « Nous éprouvons une sorte de honte à poser les questions philosophiques : la tâche du philosophe sincère est, de nos jours, su
7 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
16 s par cette voix. Celui qui se refuse à poser les questions dernières, s’autorise à borner sa vision à son acte. Voilà l’utile ;
17 ’est là sa vertu. Mais notre siècle pose d’autres questions , des questions que Ramuz ne veut pas esquiver. Voici le temps où tout
18 u. Mais notre siècle pose d’autres questions, des questions que Ramuz ne veut pas esquiver. Voici le temps où tout homme se voit
19 udrait dire. Maintenant il y va de notre tout. La question dernière est posée : celle de notre destination. Le silence perd alor
20 embrassement n’est qu’une question51 ». Mais une question ne peut être sérieuse que si l’on sait que la réponse existe… Il fall
8 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
21 roblèmes spirituels qui sont les nôtres. Toute la question est de savoir si nous les aurons résolus, dans nos catégories occiden
22 pas été résolus pour autant. Vous avez reculé la question de dix ans ou d’un siècle, je ne sais ; mais ce que je sais, c’est qu
23 s premières expériences nous enseignent. Toute la question est alors de savoir si nous saurons utiliser ces avantages, et le tem
24 ommune à tous les ordres et qui les harmonise. La question de la mesure d’une civilisation est sans nul doute la question mère d
25 a mesure d’une civilisation est sans nul doute la question mère de toute problématique culturelle. Mais une mesure n’est en soi
26 en Suisse, en Belgique, en Scandinavie, il n’est question que du « désarroi général ». Liberté d’opinion, c’est pratiquement li
27 ins. En Russie, en Allemagne, en Italie, il n’est question que de renaissance et de construction. « Dictature », « tyrannie », «
9 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
28 nse — la plus orgueilleuse sans doute — contre la question personnelle que pose à l’homme pécheur le Dieu-homme. Mais ceci dit,
10 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
29 ttérature d’aujourd’hui pose à chaque instant des questions qui ne sont pas du tout littéraires. Le monarque caduc c’est la cultu
30 ramenés à tout propos, bon gré mal gré, aux mêmes questions  : pourquoi écrivez-vous ? et pour quoi, et pour qui ? Or on ne peut p
31 pour quoi, et pour qui ? Or on ne peut poser ces questions -là que si l’on sait, pour son compte, y répondre. Elles jaillissent d
11 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
32 up moins menacée en France ? Est-ce seulement une question de régime ? Est-ce d’abord une question politique ? Culture à gauche,
33 ement une question de régime ? Est-ce d’abord une question politique ? Culture à gauche, brutalité stupide à droite, — ou invers
12 1937, Esprit, articles (1932–1962). La fièvre romanesque (janvier 1937)
34 imposent de cette manière au déprimé fiévreux. La question est ailleurs : va-t-on se vanter d’être si faible que de céder à tout
13 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
35 un peu tard. Peut-être posons-nous déjà d’autres questions , qu’il n’a pas devinées, ou qu’il a négligées parce qu’elles lui para
36 pas eu le temps de s’apercevoir que « les grandes questions gisent dans la rue », comme disait Nietzsche. Nous disons « existence
14 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
37 spirituellement actif du pays. Il ne saurait être question de ce cliché importé d’URSS ou d’Allemagne hitlérienne : « retrouver
38 se, c’est trahir cette « attente ardente », cette question angoissée des bêtes et des plantes que l’apôtre a su percevoir. C’est
39 C’est bien plus grave. C’est aussi grave que les questions d’argent. C’est un fait d’ordre religieux. Et la colère de Simard en
15 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
40 donner à la littérature, dans Esprit , c’est une question qui se pose à nos lecteurs, parce que, sous une forme plus générale,
41 eurs, parce que, sous une forme plus générale, la question de la littérature en soi et de la place qu’il conviendrait de lui don
42 aussi le produit d’une époque. C’est pourquoi la question d’une littérature personnaliste reste pour nous inséparable de la cré
43 ie qui la soutiennent, et qu’elle maintienne. (La question se posera un jour aussi lointain peut-être que certains le désirent…)
16 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
44 ffort est réel et aboutit — ce qui est encore une question — il aboutit évidemment à la négation absolue du personnalisme, chrét
17 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
45 c’est aux Suisses, finalement, que Ramuz pose ces questions  ; mais que s’il garde en même temps le souci d’expliquer qui nous som
46 histoire : le point de vue du personnalisme. ⁂ La question de la neutralité est peut-être la plus importante qu’il faille poser
47 ce que la Suisse se figure justement que c’est la question qui ne se pose pas. Que nous le voulions ou non, notre neutralité car
48 des faits que l’on a rappelés dans ce numéro, des questions qu’on y a posées, des thèses qu’on y a soutenues. La géographie et l’
49 ralité. Elle se permet de prendre parti, dans les questions de politique étrangère, ou de politique intérieure du voisin, avec d’
18 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
50 r par un prêtre.   2. — Contraintes sociales. Les questions de rang, de sang, d’intérêts familiaux, et même d’argent, sont en tra
51 aut pourtant que quelque chose se fasse, la seule question qui se pose à l’historien, au sociologue, c’est de savoir quel mécani
19 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
52 plus agressive, sans doute, puisqu’il n’est plus question pour nous de recourir au bras séculier. (Sans compter que la Croisade
53 nte l’exigence inhumaine de perfection, comme une question perpétuelle, un aiguillon qui empêche de retomber sous le coup des ob
54 qu’un discours vienne mettre ses délais entre la question qu’elles nous posent et la réponse de notre vie.) ⁂ Le second thème q
20 1938, Esprit, articles (1932–1962). Suite à « La passion contre le mariage » (décembre 1938)
55 pensais : ce n’est point le sacrement qui « fait question  », selon M. Lavaud, mais bien son fondement biblique. À propos de la
21 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
56 pas assez exalté. Mais alors, je vous pose cette question  : si j’avais exalté davantage tout ce reste, mes conclusions, à votre
22 1946, Esprit, articles (1932–1962). « Un divorce entre le christianisme et le monde ? » (août-septembre 1946)
57 septembre 1946)at Je ne vois pas le divorce en question . Pour qu’il y ait divorce, il faut qu’il y ait eu mariage. Or l’Églis
23 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
58 orrent de clichés qui n’ont aucun rapport avec la question , et des affirmations grandiloquentes d’attachement indéfectible aux p
59 triotiques ou républicaines jusqu’à la mort. Plus question du savon. Brossez-vous. Nous ne posons pas de question de principe à
60 ion du savon. Brossez-vous. Nous ne posons pas de question de principe à propos de ce produit utile et hygiénique. S’il y a cris
61 s la répartition de l’article, nous étudions deux questions , et prenons les mesures nécessaires pour les résoudre, non pas pour q
62 des chants et des beuveries. On dit que c’est la question de l’Asie qui nous sépare. Car en réalité, nous touchons à l’Asie. No
63 offrent plus d’aspérités et ne posent plus aucune question  ; de mécanismes qui répondent à leur place ; et de musiques qui empêc