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il importe que les victimes ne mettent jamais en
question
les buts réels : le capitalisme a ses tabous. Nul ne pouvait prévoir
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t le bagage d’arguments nécessaires. Et voilà une
question
réglée, et une conscience qui se rendort, et un littérateur qui retou
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yeux hors de la tête, sans se poser jamais cette
question
pourtant bien naturelle : Comment un siècle peut-il avoir un destin ?
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es, voici ce que nous avons à dire : Retournez la
question
qu’on vous pose, cessez de vous défendre, attaquez. On vous dit : « Q
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le, de l’hitlérisme allemand ? » Voilà certes des
questions
embarrassantes pour les SFIO. Nous sera-t-il permis de signaler en pa
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, mais c’est elle qui choisit son homme. La seule
question
qui se pose, dès lors, c’est de savoir comment l’exercice d’une vocat
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e de l’Ordre nouveau nous oblige à poser les deux
questions
suivantes : 1. L’édit de Nantes a-t-il « apaisé » quoi que ce soit, e
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écents et assez éclatants nous ont appris qu’à la
question
« Où allons-nous ? », lorsqu’elle est posée après coup, après que l’o
9
s pages, quelque autre réponse directe à la fière
question
du début : « De quoi s’agit-il ? » « Les programmes sont des aboutis
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rassemble ? Si personne ne répond d’urgence à la
question
, n’indique d’urgence une direction commune, les anciennes habitudes v
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ctique révolutionnaire, il est clair que la seule
question
décisive n’a été posée ni par les gauches ni par les droites : c’est
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ni par les gauches ni par les droites : c’est la
question
que pose l’antagonisme actuel des revendications ouvrières et des rev
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uerre en soi. Quelle solution donnez-vous à cette
question
de l’utilisation des forces obscures, brutales, de l’homme ? La prépa
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drai plus sérieusement, d’un seul mot : c’est une
question
d’éducation. Pour nous, éduquer les hommes, ce n’est pas leur bourrer
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izaines de milliers de francs. Il n’est donc plus
question
, matériellement, pour l’éditeur, de risquer un beau geste en faveur d
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traire d’obtenir l’unanimité de la nation sur une
question
vitale. La « lutte électorale » revenait ainsi à la lutte du parti au
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Le peuple y est privé du pouvoir de trancher les
questions
importantes. Entre lui et le gouvernement, il y a toute une caste de
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ée par l’État. Et il y a lieu de poser la fameuse
question
de Voltaire : Jusqu’à quel point a-t-on le droit de tromper le peuple
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6)t 1. Personne n’aurait l’idée de poser cette
question
dans un temps où l’autorité existerait. Mais il est urgent de la pose
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ence, son honneur et ses facultés critiques. À la
question
qui résulte de ce malaise : « faut-il ou non faire de la politique ?
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urité que si l’on a d’abord répondu à cette autre
question
: qu’est-ce que la politique ? Car si la politique est ce que l’on pe
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ique devient ce que nous voulons qu’elle soit, la
question
d’en faire ou de n’en pas faire ne se pose même plus. 3. La politique
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mies ou des écoles de rhétorique vulgaire, et les
questions
de personnes, le jeu des vieilles rancunes, y priment nécessairement
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s que les autres puissances exaltent ? Toutes ces
questions
sont des questions de vie ou de mort pour l’ensemble de la nation. Ce
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issances exaltent ? Toutes ces questions sont des
questions
de vie ou de mort pour l’ensemble de la nation. Ceux qui leur donnero
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le socialisme, plutôt qu’il ne l’a continué. La
question
véritable n’est pas là. Elle doit se poser dans ces termes : un chef
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e tous les jeux.) L’un pose au petit groupe cette
question
insidieuse : qu’est-ce que créer ? (Depuis le temps qu’on en parle à
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ître. Un mois plus tard, que ce n’est plus qu’une
question
de temps. Au cours de ce premier mois, les camps se sont formés en Eu
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la cristallisation de l’ordre nouveau ? Autant de
questions
par lesquelles nous touchons à la marge d’imprévisible, d’indétermina
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nous poserons à ceux qui font cette objection, la
question
préalable suivante : confondent-ils le spirituel avec le désordre et
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avec les mains , Albin-Michel, 1936. 76. Sur la
question
de l’autorité, voir le n° 31 (mai 1936) de L’Ordre nouveau , intitul