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st une somme immense de réalités, de réponses, de
questions
, de contradictions. Cette prodigieuse diversité peut angoisser. Mais
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ut, soyons objectif ! Voyons les deux côtés de la
question
. Ce loup ne pense pas à mal, il a grand-faim, il a beaucoup lu Marx,
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« L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une
question
? (mai 1952)d Plus nombreux qu’ils ne voudraient le croire sont ce
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« “L’Œuvre du xxe siècle” : une réponse, ou une
question
? », Preuves, Paris, n° 15, mai 1952, p. 1-2.
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ollectifs, mais de la conversion personnelle. La
question
du sens de nos vies, du sens particulier de chaque vie dans la vie, d
6
e une foi naïve. Nous nous posons à son sujet des
questions
parfois angoissantes. Par exemple : comment mesurer le Progrès ? La q
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es. Par exemple : comment mesurer le Progrès ? La
question
paraît insoluble. Nos créations sont toujours équivoques, chacun le s
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préféré le droit de poser passionnément quelques
questions
au devoir de réciter toutes les réponses — l’esprit de liberté qui pe
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ués et susceptibles, esquivant les réponses à nos
questions
directes, occupés à se ruiner par des guerres nationales qu’on nous d
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considérés comme justifiés, dès le départ, et la
question
ne sera pas d’échanger de mauvaises notes, mais de trouver, après une
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tion, quoique nécessaire, reste loin d’épuiser la
question
. Car l’Unesco n’a jamais prétendu faire la culture, ou faire de la cu
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cisive de la culture au sens moderne ? Certes, la
question
des rapports entre la science et la liberté a fait partie, dès le déb
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tique et tend à dominer la société. Mais alors la
question
se pose, inévitable : qui dominera la science ? Sera-ce l’État, l’idé
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us prêts à courir les risques de la liberté ? Ces
questions
sont parmi les plus graves qui se posent à l’esprit moderne. Par une
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pidement cette entreprise, partons de la deuxième
question
: où sommes-nous, Européens, en ce milieu du xxe siècle ? Une phrase
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eraineté, elles l’ont perdu, et sans retour. À la
question
: pourquoi l’Europe unie ? il nous faut donc répondre maintenant : po
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l’Autriche. Mais cet échec était prévu. La vraie
question
n’était pas là. Elle était de mesurer la puissance de deux volontés a
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table, une aventure, un risque financier ? ⁂ À la
question
que je citais au début, je répondrai maintenant sans hésiter : « J’ai
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échanger avec lui ces remarques à voix basse, ces
questions
et réponses sur des bouts de papier qui sont l’agrément des congrès,
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pas englobée par ce qu’elle veut nier ? La seule
question
sérieuse reste alors de savoir de quelle manière la science, agissant
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rimées et stériles. Il est temps de renouveler la
question
et de rappeler les aspects positifs : ceux-ci sont à la fois plus « n
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matière et son étude, qu’ils se posaient moins de
questions
quant aux motifs et aux effets de leurs recherches. Peut-être fallut-
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l’Évangile. De la science à la théologie La
question
se ramène à savoir qui décide, et qui détient la preuve de la réalité
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ère ! Mais derrière ce voile, qu’y a-t-il ? Cette
question
n’a pas de sens, nous dit-on. Dans l’Univers d’Einstein (illimité-fin
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yez de penser cela, et vous verrez bientôt que la
question
d’un au-delà ne se pose plus. Dans l’univers en expansion de l’abbé L
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ns quoi tout cela se meut-il ? Il est vrai que la
question
n’a pas de sens : rien « au monde » ne peut y répondre ; mais aussi,
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de penser « Liberté ». Le refus qu’on oppose à ma
question
dernière dissimule un refus d’être mis en question par autre chose qu
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manifesté31. À ce cycle infini, l’homme oppose sa
Question
. Nulle réponse, nul refus de répondre, et nulle interdiction d’interr
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ion d’interroger, n’auront jamais raison de cette
Question
: elle nous juge et pose nos limites, qui sont celles du savoir humai
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et la continuité de nos caractères nationaux. La
question
qui se pose est alors de savoir si l’Occident qui pense n’a pas pris
31
ent d’une manière immédiate et concrète la grande
question
des fins de l’existence ici-bas. Répudiant le grand rêve des alchimis
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le vrai temps de nos existences quotidiennes. La
question
« Que faire de ma vie ? » ne sera plus réprimée par cette réponse, pl
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nt qu’elle peut nous jeter dans une époque où les
questions
religieuses deviendront plus sérieuses que ne le sont aujourd’hui les
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ont plus sérieuses que ne le sont aujourd’hui les
questions
matérielles, les « lois » économiques, les remous de la politique, le
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salaire perdues. 42. Le mépris affiché pour les
questions
religieuses n’aura été qu’un phénomène transitoire de notre civilisat
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outer à cette littérature, j’examinerai les trois
questions
suivantes : Que se passe-t-il en réalité ? Que deviennent les anti et
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s rebattent les oreilles, il suffit de poser deux
questions
: ce culte était-il vraiment si dangereux ? est-il réellement condamn
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avante… dès la mort de Staline »). Il est hors de
question
que Staline se soit « supprimé lui-même ». A-t-il donc été tué par le
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e ! car tout change aussitôt, du seul fait que la
question
n’est plus simplement d’obéir, mais de savoir comment obéir ! Logique
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lent la figure et décident de quitter le pays. La
question
qui se pose est celle-ci : les sujets n’ont-ils fait qu’obéir une foi
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ermine la « vérité ». Le rapport K. remet tout en
question
. En effet, regretter, comme le font nos PC, que la presse bourgeoise
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Monde de l’énergie nucléaire et solaire. La vraie
question
que pose le geste de Nasser n’est pas celle de la souveraineté de son
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n ferait-elle partie ? Et la Russie ? Très grosse
question
! Jusqu’à l’Ukraine ou à l’Oural, ou pas du tout ? B. Hannibal est au
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ope, c’est d’abord faire des Européens. C’est une
question
d’éducation. S. Il y faudra vingt ans. B. Vous voyez donc qu’il n’y a
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maintenus à cette fin dans l’obscurantisme ». La
question
n’est donc pas de savoir ce qu’on fait, ni même ce qu’on représente e
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temps qui n’est plus celui de l’Histoire : il est
question
que l’URSS et les États-Unis lancent en commun des lunes artificielle
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» de l’Est. Quant aux « neutres » de l’Ouest, la
question
ne se pose pas. Imagine-t-on les USA venant « mettre au pas » une Fra
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u sérieux de la chose, on s’aperçoit que la seule
question
concrète est l’indépendance de l’Europe. Car il faut être indépendant
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nous refusons de nous fédérer. Ici, deux grandes
questions
se posent : 1° L’union faite, cette neutralité serait-elle « dans les
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vers concourent à me faire répondre à la première
question
par un oui presque sans réserve. Prenons les pays neutres de l’Europe
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ées nationales ne paient plus ?) Reste ma seconde
question
. Supposons l’union faite, d’autant plus vite, d’ailleurs, qu’on l’aur
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plus qu’idéologique ne tranchent pratiquement la
question
non point au terme d’une analyse menée plus loin que la mienne ou plu
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t l’abolition du parlementarisme. Il ne peut être
question
de l’utilisation des institutions gouvernementales bourgeoises qu’en
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assionne ou que l’on peut vérifier, il n’est plus
question
de voter. Personne ne veut élire au suffrage universel un joueur de f
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forme d’union qu’on leur offre, j’aurais eu trois
questions
à poser : 1° L’Europe est-elle, oui ou non, menacée dans son ensemble
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ons de dire non à l’union nécessaire. Ainsi, à la
question
: « Faut-il unir l’Europe ? », on peut répondre : 1. — Non, car seule
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es satellites ; b) liaison de cette idée avec des
questions
scientifiques assez ingrates et des réalités militaires nettement sin
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ar douze gouvernements. Or aux yeux du journal en
question
(pourtant bourgeois, capitaliste et nationaliste français), l’URSS fa
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us l’exactitude des nouvelles publiées qui est en
question
, mais leur choix, leur présentation, et ce que l’on a convenu de tair
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le, le grand public aime ça. L’union de l’Europe,
question
de vie ou de mort pour toute une civilisation, n’intéresse le Souvera
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e Souverain moyen que si quelque anecdote rend la
question
« concrète » : on veut dire amusante en passant pour l’œil distrait o
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ration ? À ceux qui ont coutume de poser cette
question
préalable, et qu’ils croient insidieuse, on peut dire tranquillement
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s prévu dans ma chronique du mois dernier, sur la
question
de la fédération ou de la confédération. Il semble bien que les natio
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u’une élite responsable ou qu’un chef définit. La
question
du fédéralisme est désormais posée devant le peuple français : que l’
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l s’agit d’un refoulement ? Ou simplement que les
questions
posées suggéraient des réponses conformes aux préjugés du magazine qu
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fait, qu’était-elle donc pour lui ? Oh ! à cette
question
, il avait toujours une réponse prête. C’est une soirée de printemps.
67
r son refus : « De mon départ, il ne saurait être
question
. » Mais il ajoute un peu plus tard : Tout est déjà entre vos mains.
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mystère, l’approche par le moyen de paraboles, de
questions
, de comparaisons. De quels autres moyens disposons-nous, qui soient o
69
ul devant lui, se taire longtemps après une seule
question
qu’il eût posée, une seule sentence énigmatique à méditer, sans jamai
70
poésie comme existence, ce qui donne une parfaite
question
zen, la question dernière, peut-être, pour les hommes auxquels la Lan
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tence, ce qui donne une parfaite question zen, la
question
dernière, peut-être, pour les hommes auxquels la Langue a été donnée.
72
mmes auxquels la Langue a été donnée. C’est cette
question
que le 23e des Sonnets à Orphée pose, ou tout au moins, comme il conv
73
ant les problèmes de la lutte idéologique avec la
question
des relations entre États. » On a bien lu : l’idéologie communiste es
74
e mois dernier, François Bondy posait ici même la
question
que tout Européen doit se poser désormais, la question de l’absence d
75
ion que tout Européen doit se poser désormais, la
question
de l’absence de l’Europe aux lieux où se discute son sort et le sort
76
us donner de nos buts répond suffisamment à cette
question
. Mais on insiste, la presse insiste, et les interviewers insistent :
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aîtrise l’Éros, etc.112 L’Agapè dont il est ici
question
n’est encore pour les Grecs que l’amour désintéressé ; mais dans l’es
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tement réactivées par sa qualité d’Étranger. À la
question
d’une femme qu’il veut séduire : « Ah ciel ! Homme, qui es-tu ? » le
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me… Qui a perdu, qui a gagné dans cette affaire ?
Question
oiseuse ainsi posée en termes de personnes par toute la presse, et pa
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ont petites au regard des empires neufs. Toute la
question
se ramène alors à savoir quelles formes d’union les Européens vont ch
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Suisse… On s’écrie aussitôt qu’il ne saurait être
question
d’imiter ce modèle, ridiculement réduit, à l’échelle des glorieuses e
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ermettant les accords d’Évian). Il n’est donc pas
question
que la Suisse prenne la moindre initiative visant à l’union européenn
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e l’industrie suisse, cause directe du « mal » en
question
, si c’en est un. Mais il y a plus. Les traits typiques de ce pays ont
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pour l’instant, avec celui de notre population.
Question
: la Suisse ne sera-t-elle pas, d’ici vingt ans, trop grande pour ses
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ez tard. Nous avons fini hier par un petit jeu de
questions
et réponses écrites simultanément. Ma première question était : Qu’es
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ns et réponses écrites simultanément. Ma première
question
était : Qu’est-ce que le génie ? Marcel lit sa réponse : L’impossibil
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de la technique. Et ils les forcent à reposer des
questions
difficiles, voire angoissantes sur le sens même de la vie… D’une faço