1 1947, Vivre en Amérique. Avertissement
1 ’ailleurs qu’il n’y paraît, car l’une des grandes questions du siècle est sans doute celle de ne point laisser nos moyens matérie
2 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
2 ieds sur une chaise, me posaient avec naturel des questions follement indiscrètes, me racontaient leur vie sans le moindre souci
3 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
3 , qui ont le droit de leur poser n’importe quelle question . Rien de plus frappant que l’absence de démagogie et d’effets oratoir
4 une grande démocratie, c’est d’être grande. Cette question de format me paraît capitale. Pendant plusieurs années, j’ai répété à
5 accuser personne, ni les lois : c’est une simple question de dimensions. Il faudrait donc disposer de la radio. Mais la radio d
6 « J’ignore, lui dis-je, toutes les données de la question , le nombre de divisions dont Staline dispose, le rythme de sa product
7 s grèves, dans ce pays, ne mettent en jeu que des questions de salaires, de contrats et d’hygiène de travail. Pour le reste, l’ou
8 t ces maladies sont plus graves à mes yeux que la question noire, la question juive et la question indienne en Amérique du Nord.
9 plus graves à mes yeux que la question noire, la question juive et la question indienne en Amérique du Nord. (Et, vraiment, ce
10 ux que la question noire, la question juive et la question indienne en Amérique du Nord. (Et, vraiment, ce n’est pas peu dire !)
11 a quelques années, devant un comité du Sénat, la question fut posée de savoir si quelqu’un au monde connaissait réellement le n
12 les visiteurs. ⁂ Mais je me pose tout de même la question de l’avenir des démocraties, livrées à la fatalité incontrôlable des
13 n ? Et maintenant, j’en reviens à notre grande question  : faut-il craindre leur impérialisme ? Et tout d’abord, vont-ils deve
4 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
14 nt connus et déclarés. Le directeur du journal en question censura cette partie de l’interview, en vertu de la politique qu’on a
15 veulent agir sur leurs contemporains. — Toute la question est de savoir ce que nous entendons par agir. Je vois bien que vos re
16 pporté ce petit dialogue pour faire sentir que la question n’est pas tout à fait aussi simple que je l’avais pensé d’abord. Nos
17 accueillants… Mais n’allez pas leur poser trop de questions sur le sens symbolique de leurs cérémonies, sur le péché, la grâce, l
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
18 rs. Quant à l’attitude américaine vis-à-vis de la question sexuelle — mais c’est bien à cela que vous pensiez — elle n’est hypoc
19 s cesse l’Amérique, qu’il s’agisse de visas ou de questions sentimentales. Et c’est peut-être la saveur de la vie, toujours compl
20 ywood ? Et il vous pose tout tranquillement cette question  : « Vous êtes écrivain ? Comment vous vendez-vous ? »   Encore une fo
21 salaires en toute simplicité, on divorce pour des questions de cuisine, on se console vite, on n’admet pas la jalousie. Le « réal
22 ande de remplir des questionnaires comportant des questions de ce genre : « Buvez-vous ? Modérément ? À l’excès ? Fumez-vous ? Av
23 à plat ventre sur le tapis, non sans poser force questions qui gâtent le plaisir du père. Sur quoi la petite fille de 6 ans décr
24 orrent de clichés qui n’ont aucun rapport avec la question , et des affirmations grandiloquentes d’attachement indéfectible aux p
25 riotiques, ou républicaines jusqu’à la mort. Plus question du savon. Brossez-vous. Nous ne posons pas de question de principe à
26 ion du savon. Brossez-vous. Nous ne posons pas de question de principe à propos de ce produit utile et hygiénique. S’il y a cris
27 répartition de l’article, nous étudions ces deux questions , et prenons les mesures nécessaires pour les résoudre, non pas pour q
28 des chants et des beuveries. On dit que c’est la question de l’Asie qui nous sépare. Car en réalité, nous touchons à l’Asie. No
29 offrent plus d’aspérités et ne posent plus aucune question  ; de mécanismes qui répondent à leur place ; et de musiques qui empêc