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risques toujours accrus, remettant sans cesse en
question
les certitudes et les sécurités acquises. Enfin, je dis bien l’homme,
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finale du genre humain, quoi qu’il en soit de la
question
des origines dont nous ne savons encore à peu près rien. Quant à la m
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ambigu qu’elle prépare pour l’humanité. Ainsi, la
question
où en sommes-nous ? entraîne nécessairement les deux autres questions
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es-nous ? entraîne nécessairement les deux autres
questions
d’où venons-nous ? et où allons-nous ? Il est impossible de répondre
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l’Aventure occidentale. Ils préjugent donc de la
question
où allons-nous ? mais ils laissent sans réponse le d’où venons-nous
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ds de sa genèse. Tout cela revient à dire qu’à la
question
scolaire de l’origine d’une civilisation, il nous faudra substituer l
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d’une civilisation, il nous faudra substituer la
question
des options fondamentales, à la fois initiales et finales, qui déterm
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transmutés, allons plus loin : créés par elle. La
question
« est-ce bon ou mauvais ? » se repose à propos de chaque touche de pi
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ais d’abord accepté de me chercher. ⁂ Ce sont les
questions
simples, celles que l’on considère comme tranchées une fois pour tout
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Des diverses réponses effectivement données à ces
questions
, découlent les formes de civilisation occidentale et orientale, leurs
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x, de préférence. N’est-ce pas là que l’irritante
question
de la « supériorité » de ceci sur cela offre le moins de sens, et de
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s au point ou de « communiqués » sur l’état de la
question
au moment où l’Europe va se détacher du monde antique. Genèse théol
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ays ou de l’option d’un homme, il n’est donc plus
question
de demander si c’est « vrai ». C’est « dans le sens de l’Histoire »,
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exactes, mais par nos choix fondamentaux. Car la
question
n’est pas de savoir « ce qui arrivera », mais de savoir dès maintenan
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isposés à laisser arriver ou à faire arriver ; la
question
n’est pas de supputer le sens probable d’un devenir fatal, pour nous
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ui ne peut s’originer qu’en la personne. Bref, la
question
n’est pas de deviner l’Histoire, mais de la faire. Seules nos options
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ux de la psyché européenne. Essayons de cerner la
question
. Pourquoi les Chinois, les Indiens, les Africains, et les Aztèques n’
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pas englobée par ce qu’elle veut nier ? La seule
question
sérieuse reste alors de savoir de quelle manière la science, agissant
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rimées et stériles. Il est temps de renouveler la
question
et de rappeler les aspects positifs : ceux-ci sont à la fois plus « n
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matière et son étude, qu’ils se posaient moins de
questions
quant aux motifs et aux effets de leurs recherches. Peut-être fallut-
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l’Évangile. De la science à la théologie La
question
se ramène à savoir qui décide, et qui détient la preuve de la réalité
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ère ! Mais derrière ce voile, qu’y a-t-il ? Cette
question
n’a pas de sens, nous dit-on. Dans l’Univers d’Einstein (illimité-fin
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yez de penser cela, et vous verrez bientôt que la
question
d’un au-delà ne se pose plus. Dans l’univers en expansion de l’abbé L
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ns quoi tout cela se meut-il ? Il est vrai que la
question
n’a pas de sens : rien « au monde » ne peut y répondre ; mais aussi,
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ssi de penser Liberté. Le refus qu’on oppose à ma
question
dernière dissimule un refus d’être mis en question par autre chose qu
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manifesté66. À ce cycle infini, l’homme oppose sa
Question
. Nulle réponse, nul refus de répondre, et nulle interdiction d’interr
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ion d’interroger, n’auront jamais raison de cette
Question
: elle nous juge et pose nos limites, qui sont celles du savoir humai
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et la continuité de nos caractères nationaux. La
question
qui se pose est alors de savoir si l’Occident qui pense n’a pas pris
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ent d’une manière immédiate et concrète la grande
question
des fins dernières de notre existence ici-bas. La technique, répudian
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le vrai temps de nos existences quotidiennes. La
question
« Que faire de ma vie ? » ne sera plus réprimée par cette réponse, pl
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ment qu’elle va nous jeter dans une époque où les
questions
religieuses deviendront plus sérieuses que ne le sont aujourd’hui les
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ont plus sérieuses que ne le sont aujourd’hui les
questions
matérielles, les « lois » économiques, les remous de la politique, le
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plus dangereuses. 85. Le mépris affiché pour les
questions
religieuses n’aura été qu’un phénomène transitoire de notre civilisat
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que personne soit encore en mesure de trancher la
question
confusément posée de savoir dans quel sens, bénéfique ou néfaste, von
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préter, la Science avance. L’Oriental pose ici la
question
de savoir si l’Occidental ne préférerait pas la recherche à la pleine
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oi autorisant les accusés à ne pas répondre à des
questions
incriminantes (c’est aux États-Unis, et de nos jours) nul honnête hom
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a vu. Il y aurait pourtant lieu de poser d’autres
questions
… Du point de vue des matérialistes conséquents, les USA devraient rep
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scandinaves. Il demeure la plus grave et urgente
question
qui se pose à tout l’Occident. La condition prolétarienne n’a pas de
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ut vérifier à bref délai le succès ou l’échec, et
questions
tout à fait générales relevant de l’opinion, de la conscience ou de l
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iques est moins facile à définir. Il s’agit d’une
question
de confiance — d’une confiance librement accordée (non par décision d
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venir en aide aux Orientaux. Je ne tranche pas la
question
, mais elle se pose. Il faut l’envisager avec franchise, si l’on veut
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rgement réussi. Mais ce succès nous pose d’autres
questions
plus vastes : que faire du monde ainsi domestiqué, de l’espace, du te
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au salut, à la paix véritable de l’âme ? C’est la
question
de la preuve qui se pose ici. Confronté à l’Orient, l’Occident appara
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même — et de la Voie traditionnelle, soumise à la
question
de notre présent vivant, dans une perspective mondiale. 92. Des gu
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mment, jusqu’ici, elle est allée. On verra que la
Question
même est spécifique de l’Occident. Toute réponse décisive annoncerait
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pas eu d’autre intention que de mieux définir la
question
, en cela fidèle à l’Occident qui m’a formé. Qui voudrait à tout prix