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ue tout, puisqu’en son nom l’on peut trancher une
question
d’existence réelle. Il ne faut pas que Dieu et le diable existent, ca
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our l’imagination aujourd’hui courante du cosmos.
Question
d’échelle. Cette vermine fugitive que représente l’homme sur la terre
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s dire et faire si nous sommes des chrétiens ? La
question
ainsi simplifiée paraît proprement écrasante, démesurée pour les forc
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e mort de Dieu, — comme si pour eux, vraiment, la
question
ne s’était jamais posée, comme si l’ère du sérieux humain et de la pe
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liste, et qu’il pose aussi franchement les vraies
questions
. Il faut être content que la croyance, ou plutôt l’incroyance fondame
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es moyens que l’on sait. Il faut bien voir que la
question
de l’État totalitaire n’est pas simplement politique. Dans le fond, c
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pas simplement politique. Dans le fond, c’est une
question
métaphysique et religieuse. Le dilemme est très simple. Si Dieu n’exi
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Réponses chrétiennes au sécularisme Quand les
questions
sont sérieuses et totalesr, comme c’est le cas de la question sécular
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t sérieuses et totalesr, comme c’est le cas de la
question
séculariste, on ne peut y répondre par des arguments, mais seulement
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ande de faire face aux vrais dilemmes, aux vraies
questions
, celles qui portent sur le tout de l’homme et de son destin. Pour con
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ontological, phenomenon poses some very specific
questions
for Christians. How shall one confront this century that wants to be
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as repris dans l’édition américaine. r. « When a
question
is both serious and total » dans l’édition américaine. s. La dernièr
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uvait écrire vers la fin de cette période qu’à la
question
: « Si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on ? » ; les
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in que si les Églises continuent à négliger cette
question
, la cessation des hostilités introduira une période de la plus grande
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sera plus grande et leur soif de réponses à leurs
questions
, de conseils, d’idéaux catholiques — au sens étymologique du mot — de
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ère, y soit dominé par la doctrine de l’Église en
question
, comme c’est le cas dans les instituts catholiques et à l’Université
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and cynical. They are hungry for answers to their
questions
, for guidance, for catholic ideals (in the etymological sense of the
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ide. Il y aurait un gros livre à écrire sur cette
question
: dans quelle mesure le peu de sens commun que conservent nos vocabul
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e de répondre d’une manière directe et neuve à la
question
vitale d’aujourd’hui. Et il se trouve que ces Églises, par ailleurs,
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aujourd’hui de la détruire16. Il ne saurait être
question
de retracer ici dans son ensemble l’évolution des éléments culturels
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n reviens à mon propos, qui était de soulever une
question
, et de suggérer pour son étude quelques hypothèses de travail. 5. L’i
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mbiance de controverses théologiques mêlées à des
questions
politiques. Exemples : La poésie des troubadours, née dans la seconde
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siècles environ, on a coutume de répondre à cette
question
d’une manière simple en apparence. On pense que les artistes font des
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religieux d’une société, je me retrouve devant la
question
initiale : en quoi l’activité artistique se distingue-t-elle des autr
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p sûr exprimer tout autre chose que le message en
question
— à savoir le désordre du langage, l’absence de tenue intérieure, et
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i les moyens ne sont pas mis en question (ou à la
question
) par une signification très exigeante, on tombera dans ce qu’on appel
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nct de Lui, et de quelle autonomie jouit-il ? Ces
questions
et bien d’autres analogues surgissent et se précisent à l’esprit qui
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dans une société qui mettrait systématiquement en
question
les causes, les modes, les buts et la durée de l’union d’un homme et
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s’en réjouir ? Il serait vain de répondre à cette
question
d’une manière unilatérale. Si, par suite d’un réflexe de défense de n
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s incroyantes. Il se pose là, me semble-t-il, une
question
de solidarité, qui est une forme de la charité. Parfois aussi le devo
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rl Barth, par exemple, la dogmatique n’est qu’une
question
perpétuelle, une autocritique si l’on veut, que l’Église s’adresse à
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rd’hui, portant alors au premier plan les grandes
questions
d’éducation et de culture. Ainsi, chaque réussite de la recherche occ
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ra capable de répondre avec force et autorité aux
questions
politiques de notre temps. Qu’il le pressente, qu’il ait au moins une
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on dans la distinction des personnes ? Posons ces
questions
-là aux docteurs de l’Église. Mais voici ce que nous devons affirmer d
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ement unique de l’Incarnation. Et il apporte à la
question
des temps la réponse éternelle de l’Église. Qu’est-ce que l’Église pr
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. Le droit d’opposition redevient créateur. Et la
question
n’est plus de supputer le « sens inévitable » de l’Histoire, mais de
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échelle brusquement agrandie. C’est, au-delà des
questions
immenses que je laisse aux économistes, et aux sociologues, tous aler
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Et même si elles n’étaient pas tenues du tout, la
question
de principe subsiste : Est-il vrai que l’inquiétude religieuse dépend
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nien. Dans cette mesure, il ne saurait refuser la
question
que lui pose le monde présent, et que ne lui posait pas l’Europe de l
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et l’urgence mondiale… Mais ceci n’épuise pas la
question
que nous pose l’imprégnation occidentale du christianisme en tant que