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ut ! Ma vie passée, toutes les choses que j’ai dû
quitter
! Quelle est cette force qui toujours m’arrachait à tout ce que j’aim
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es ! À la ferme ! Nicolas. — J’ai choisi ! Je
quitte
l’armée. Je quitte votre guerre injuste, et je ne reprendrai jamais l
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Nicolas. — J’ai choisi ! Je quitte l’armée. Je
quitte
votre guerre injuste, et je ne reprendrai jamais les armes — que s’il
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ec difficulté). — Je crois que Dieu veut que je
quitte
maintenant… cette maison — et nos enfants, — et toi… Pour aller vivre
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décision ? Nicolas. — Je dois partir, et vous
quitter
. Dès cette nuit. Dorothée. — Où iras-tu ? Nicolas. — Où Dieu
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ille, tes enfants ! Nicolas. — Quiconque aura
quitté
à cause de Dieu sa maison, ou sa femme, ou ses enfants, il recevra bi
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rie veille à présent le solitaire. Pour tous il a
quitté
les siens. Par la souffrance d’un et d’un, mille et mille vont crier