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orme au cœur d’une créature la conscience d’avoir
quitté
sa juste place dans le monde. Tombé de l’éternel, Satan veut l’infini
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tentation de gagner dans l’instant ce qu’on voit,
quitte
à se fermer l’invisible et l’infini du possible divin. Saisissant la
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itler, nous sommes du bon côté ? Nous sommes donc
quittes
? Le diable n’en demandait pas plus : il adore notre bonne conscience
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is la douleur tordait les mots avant qu’ils aient
quitté
sa langue. Il essaya de dire : — Je t’aime, et prononça quelque chose
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as qu’elle soit désespérée. Le mieux serait de la
quitter
. Mais alors nous ne saurons jamais. Il se tait. — Cet homme ne m’aim
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e pas : je me prépare à marcher. Je sens que j’ai
quitté
déjà ce livre, et les quelques accords que je viens d’essayer me donn