1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 ont je n’ai pas conscience et que je croyais bien quitté  ? Il se retourne et le voilà tout étonné… Désormais, nul n’est plus c
2 derne.   Le voyage, quand j’étais enfant, c’était quitter Couvet pour Neuchâtel, le « Vallon » pour le « Bas », l’école pour le
2 1948, Suite neuchâteloise. V
3 .   Ainsi, pour me sentir Européen, nul besoin de quitter ce salon campagnard où je suis revenu m’asseoir : il me suffit de méd
3 1948, Suite neuchâteloise. VII
4 fance. Je le trouvais bien beau. Pourquoi l’ai-je quitté  ? … Et nous n’irons jamais au lac d’Amatitlán, au pied du fabuleux vo