1 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
1 disparaissent. Et bientôt à leur suite, le diable quitte la scène, comme l’évêque à la fin d’une procession. Rien de plus clai
2 orme au cœur d’une créature la conscience d’avoir quitté sa juste place dans le monde. Tombé de l’éternel, Satan veut l’infini
3 tentation de gagner dans l’instant ce qu’on voit, quitte à se fermer l’invisible et l’infini du possible divin. Saisissant la
2 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
4 on côté ? C’est un ennemi battu, nous sommes donc quittes  ? Le diable n’en demandait pas plus ; il adore notre bonne conscience
3 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
5 is la douleur tordait les mots avant qu’ils aient quitté sa langue. Il essaya de dire : — Je t’aime, et prononça quelque chose
6 as qu’elle soit désespérée. Le mieux serait de la quitter . Mais alors nous ne saurons jamais. Il se tait. « Cet homme ne m’aime
4 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
7 e pas : Je me prépare à marcher. Je sens que j’ai quitté déjà ce livre, et les quelques accords que je viens d’essayer me donn
5 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
8 au haut d’une vieille maison de pierre brune, et quitté non sans soulagement mon hôtel. Un plancher bleu foncé, les murs d’un