1 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
1 veille de la Révolution, soupçonnaient-ils que la république qu’ils appelaient serait livrée cent ans plus tard à peine à la folie
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
2 veille de la Révolution, soupçonnaient-ils que la république qu’ils appelaient serait livrée cent ans plus tard à peine à la folie
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
3 était un personnage absolument indispensable aux républiques aussi bien qu’aux princes et aux papes ; il fallait leur concours pou
4 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
4 était un personnage absolument indispensable aux républiques aussi bien qu’aux princes et aux papes ; il fallait leur concours pou
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
5 trois langues, nos deux religions, nos vingt-cinq républiques . Et surtout qu’on ne déplore pas le fait que les cultures des Suisses
6 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
6 prises sur le fait que monarchies, oligarchies et républiques sont également voulues de Dieu et doivent être obéies comme telles. U
7 s quatre monarchies orthodoxes des Balkans ; deux républiques démocratiques seulement, la Suisse et la France ; et enfin trois semi
7 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
8 prises sur le fait que monarchies, oligarchies et républiques sont également voulues de Dieu et doivent être obéies comme telles. U
9 quatre monarchies orthodoxes des Balkans ; trois républiques démocratiques seulement, la Suisse, la Finlande et la France ; et enf
8 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
10 uatre langues, nos deux religions, nos vingt-cinq républiques . Et surtout qu’on ne déplore pas le fait que les cultures des Suisses
9 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
11 sible de deux religions, de quatre langues, de 22 républiques , et de je ne sais combien de « races » en un État qui les respecte, c
10 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
12 prises sur le fait que monarchies, oligarchies et républiques sont également voulues de Dieu et doivent être obéies comme telles. U
13 quatre monarchies orthodoxes des Balkans ; trois républiques démocratiques seulement : la Suisse, la Finlande et la France ; et en
11 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Le fédéralisme : un fait et une volonté (1941)
14 sible de deux religions, de quatre langues, de 22 républiques , et de je ne sais combien de races en un État qui les respecte, cette
12 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
15 ge. Contrairement à ce qui se passe dans d’autres républiques , l’opinion américaine discute réellement les problèmes posés. Elle ch
13 1947, Vivre en Amérique. I. Vie politique
16 ge. Contrairement à ce qui se passe dans d’autres républiques , l’opinion américaine discute réellement les problèmes posés. Elle ch
14 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
17 deux religions, de quatre langues, de vingt-deux républiques , et de je ne sais combien de « races » en un État qui les respecte, c
15 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
18 Mais autant ces accusations sont utiles dans une république , autant les calomnies sont dangereuses et sans but… On accuse les cit
16 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
19 l’un des murs de cette citadelle qu’est, pour la république des Lettres, l’immeuble des Éditions Gallimard. C’est là, au dernier
17 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
20 deux religions, de quatre langues, de vingt-deux républiques , et de je ne sais combien de « races » en un État qui les respecte, c
18 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
21 , l’adjectif « populaire » dont on a décoré leurs républiques est une captieuse figure de langage. Entendons bien que ces régimes s
22 ’intérêt de l’accorder. » Or cette puissance, les républiques dites « populaires », pas plus que la Finlande, ne pouvaient la trouv
19 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’URSS et l’Europe fédérée (2 mai 1949)
23 c’est celle qui groupe toutes les Russies dans la république des Soviets. Tout le monde verra que ce raisonnement se retourne cont
20 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La neutralité suisse (23 mai 1949)
24 sé d’être neutre. Car la Suisse est formée par 25 républiques , elle parle quatre langues, et pratique deux religions. Si elle avait
21 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Les politiciens et l’Europe (3 avril 1950)
25 Sarre, des cantons sans frontière dans la grande république européenne. Il s’agit à Strasbourg de dépasser le stade des points d’
22 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
26 ver mieux est tout simplement inconnue dans les «  républiques soviétiques ». Je cherche le progrès. C’est chez nous que je le trouv
23 1953, La Confédération helvétique. Chapitre I. Le peuple et son histoire
27 alliées de Neuchâtel et de Genève, devinrent des républiques oligarchiques. Un certain nombre de familles nobles, anoblies, ou pat
28 lle noblesse contrôlait les destinées des petites républiques cantonales, même dans les petits cantons à Landsgemeinde. Goethe, voy
24 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
29 un État, mais un enchevêtrement d’alliances entre républiques souveraines, dont plusieurs gouvernaient des « pays sujets » et des b
30 édérale n’était qu’une réunion d’ambassadeurs des républiques , mandatés par leur gouvernement. Elle n’avait guère d’autres attribut
25 1953, La Confédération helvétique. Chapitre IV. La famille et l’éducation
31 sens originel. Certes, Calvin disait déjà : « La république est au collège. » Mais son collège était une école du chrétien, sa di
26 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
32 viationniste », le Vatican « obscurantiste », les républiques « populaires » de l’Est, et les actuelles « colonies social-fascistes
27 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VI. L’expérience de l’espace
33 é des anciens habitants, constituent une nouvelle république heureuse et chrétienne. » N’a-t-on pas assez répété que l’évangélisat
28 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
34 de l’État des jacobins que la France numérote ses républiques , et le « réflexe républicain » qu’on invoque en périodes de crise est
35 e, l’acte initial et fondateur de la première des Républiques françaises : la mise à mort du roi, ce symbole du Pouvoir. Acte sacri
29 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
36 sectes. Tous ces petits ensembles constituant des républiques ou cantons, pourvus chacun de son gouvernement particulier et de ses
30 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
37 nsi que l’on nommait alors l’ensemble des petites républiques et des bailliages occupant l’espace délimité par les Alpes, le Jura,
38 Que veulent les partisans du nouveau Pacte ?… Une république fédérative au lieu d’une réunion d’États souverains ! Avec une positi
39 irs lentement élaborés par les divers régimes des républiques locales, et créa d’un seul coup l’État qui se nomme désormais la Suis
31 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
40 n-conformiste comme tous ces autres ! »   Sur la république des caméras. — Avec des soins particuliers, les magazines américains
32 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
41 ait que dans un proche avenir le monde serait une république américaine ou une monarchie universelle russe. La déprimante prophéti
33 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
42 âmes turbulentes. Et tout se passe comme dans une république . » À regarder ainsi le moi, on le perd assurément et par méthode. Car
34 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
43 âmes turbulentes. Et tout se passe comme dans une république . » À regarder ainsi le moi, on le perd assurément et par méthode. Car
35 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
44 erait de l’est à l’ouest et du nord au sud. La «  république chrétienne » de Pierre Dubois est une sorte de Confédération, qui ser
45 stant en Europe, ils y détruiraient la paix de la république chrétienne ! Mais cette disposition ne suffit pas. Dubois montre par
36 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 3. Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
46 netés : Tous les royaumes, empires, tyrannies ou républiques de la terre sont réunis par un lien qui n’est pas autre chose que l’a
47 de contrainte, on ne saurait réunir en une seule république toutes les nations existantes. C’est pourquoi les princes ont recours
48 neté sans limites que s’arrogent un prince ou une république . En regard de ce texte d’un ton machiavélien, citons cependant une pa
49 u’ils soient. C’est pourquoi tout État souverain, république ou royaume, quoique complet en soi et fermement assis, est néanmoins
50 y eut qu’une ou deux grandes monarchies et peu de républiques  ; tandis qu’en Europe il y eut beaucoup de républiques et quelques ro
51 liques ; tandis qu’en Europe il y eut beaucoup de républiques et quelques royaumes seulement. Mais, les hommes n’excellent dans un
52 ité, qu’ils vivent dans une monarchie ou dans une république . Ainsi plus il y a d’États, plus il y a de grands hommes. Ils sont pl
53 assinissa, ses Jugurtha, et les capitaines que la république de Carthage a élevés dans son sein. Cependant ces guerriers illustres
54 naître quelques grands hommes de plus grâce à la république de Carthage. Car les grands hommes sont plus nombreux dans une républ
55 Car les grands hommes sont plus nombreux dans une république que dans une monarchie. Dans l’une la vertu est presque toujours hono
56 constate qu’elles furent remplies d’une foule de républiques et de principautés qui, vivant dans la crainte continuelle les unes d
57 le royaume de Macédoine, il y avait de nombreuses républiques qui toutes ont eu des hommes remarquables. L’Italie a eu les Romains,
58 cisalpins. La Gaule et la Germanie n’étaient que républiques et principautés. L’Espagne offrait le même spectacle. Et si hormis le
59 ain au faîte de sa grandeur eut vaincu toutes les républiques et toutes les monarchies de l’Europe, de l’Afrique, et la plupart de
37 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 5. Les grands desseins du xviie siècle
60 u contraire de parler comme s’il était né « en la république imaginaire de Platon ou en la région de ses Idées ». Il finit donc pa
61 en ce mesme endroict leurs agens. Je dis grandes Républiques , comme celle des Vénitiens et des Suisses, et non pas de ces petites
62 , et surtout ceux de Danemark et de Suède, États, républiques , villes et communautés protestantes, qui sont comme obligés d’être to
63 c’est-à-dire la Savoie augmentée du Milanais) ; 4 Républiques souveraines : Venise, l’Italie, la Suisse, la Belgique (pour la défin
64 e représentants de chacun des gouvernements de la république chrétienne, au total 40 hommes d’expérience, à raison de 4 représenta
65 une souveraineté conditionnelle. Comme base de la république européenne, Sully exige la liberté du commerce et même la suppression
66 Belgique et de la Hollande actuelles. Enfin, une république italienne sera formée, englobant tous les États qui ne sont attribués
67 és ni au pape, ni à la Savoie, ni à Venise. Cette république faite d’une mosaïque de territoires en surplus sera placée sous la so
68 ans les Monarchies, & aux Magistrats dans les Républiques , contre les Séditieux & les Rebelles. IV. — Chaque Souverain se c
38 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 6. En marge des grands plans, l’utopie prolifère
69 e le roi de France prenne la tête d’une union des républiques européennes, car, dit-il avec un bel optimisme, jamais république ne
70 éennes, car, dit-il avec un bel optimisme, jamais république ne fit la guerre pour s’agrandir. Un aventurier français, auteur d’un
39 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 1. Perspectives élargies
71 rêts a renouvelé en Europe la forme des anciennes républiques étoliennes et achéennes ; les Grecs avaient adopté pareil régime poli
40 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 2. L’Europe des lumières
72 re entre les lords et les communes, le chef de la république  ; quand nous n’épousons qu’une seule femme par économie, et pour avoi
73 ois avec plaisir qu’il se forme dans l’Europe une république immense d’esprits cultivés. C’est donc l’Europe de la culture — comm
74 nne (à la Russie près) comme une espèce de grande république partagée en plusieurs États, les uns monarchiques, les autres mixtes,
75 âme des confédérés : c’est d’établir tellement la république dans le cœur des Polonais, qu’elle y subsiste malgré tous les efforts
76 t des communes : Presque tous les petits états, républiques et monarchies indifféremment, prospèrent par cela seul qu’ils sont pe
77 égislation, et de la subordination au corps de la république . En un mot, appliquez-vous à étendre et perfectionner le système des
41 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 3. Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
78 vues, et de considérer l’Europe entière comme une république dont tous les habitants ont atteint à peu près au même degré de cultu
79 s ne peuvent pas inquiéter sérieusement la grande république d’Europe. Cependant cette sécurité apparente ne doit pas nous faire o
80 n douze royaumes puissans, quoique inégaux, trois républiques respectables, et un grand nombre d’autres souverainetés plus petites,
81 e et la honte arrêtent l’abus de la tyrannie. Les républiques ont acquis de l’ordre et de la stabilité ; les monarchies ont adopté
82 rlerai… de la réunion des savants du globe en une république universelle des sciences, la seule dont le projet et l’utilité ne soi
42 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 2. Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
83 n peuple puissant et éclairé se constituât en une république (qui, par nature, doit incliner à la paix perpétuelle), il y aurait a
84 ste in thesi, à défaut de l’idée positive d’une «  république mondiale », il n’y a (si l’on ne veut pas tout perdre) que l’ersatz «
85 ’il fallait transformer l’Europe en une véritable république fédérative — non pas d’après le plan insuffisant de Saint-Pierre, mai
86 rait d’investir le Sénat suprême de cette immense république d’une autorité qui ne souffrît aucune comparaison avec celle de chacu
43 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 5. L’Europe des adversaires de l’empereur
87 jamais pu ni voulu comprendre ce que c’est qu’une république  ; elle n’entend rien à la balance des pouvoirs, à tous ces privilèges
44 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 6. Goethe
88  — était autrefois l’une des plus extraordinaires républiques qui ait jamais existé, et sa ruine a été due au fait qu’une de ses pa
45 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
89 vienne … l’Autorité supérieure honorifique de la république européenne, l’Instance de conciliation qui apaise les différends, et
90 t représenté les plus hautes institutions de la «  république européenne », et depuis lors, tout n’est que décadence. Nous ne somme
91 ure. Elle paraît commencer avec l’expansion de la république romaine qui, dans sa soif de conquêtes et d’asservissement —  manifes
46 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 2. Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
92 épreuves, cette révolution a enfanté en France la république … la république, qui est pour le peuple une sorte de droit naturel com
93 révolution a enfanté en France la république… la république , qui est pour le peuple une sorte de droit naturel comme la liberté p
94 ue, l’Europe vandale, l’Europe empire ou l’Europe république  ? Et cela par une guerre ou par une révolution ? Il ne le sait, mais
95 ériales, les monarchies constitutionnelles et les républiques unitaires. Sa loi fondamentale, caractéristique, est celle-ci : Dans
96 lier. De même le peuple suisse et les différentes républiques suisses — je pense aussi bien aux petites républiques cantonales qu’à
97 bliques suisses — je pense aussi bien aux petites républiques cantonales qu’à la grande république qu’est la Confédération — ont de
98 aux petites républiques cantonales qu’à la grande république qu’est la Confédération — ont de grandes tâches vitales à accomplir,
47 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
99 e citoyens chinois. L’antiquité classique eut des républiques et des royautés municipales, des confédérations de républiques locale
100 t des royautés municipales, des confédérations de républiques locales, des empires ; elle n’eut guère la nation au sens où nous la
48 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 2. Crépuscule ou nouvelle aurore ?
101 iment comique de contempler telle ou telle petite république qui, de son petit coin perdu, se hausse sur la pointe des pieds, tanc
102 e écrivait en 1767 qu’« il se forme en Europe une république immense d’esprits cultivés », dont le type a été le prince de Ligne e
49 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
103 lles que nous reconnaissons chez Socrate, dans la république de Cicéron, dans le agi et pati fortia de Tite Live, dans le pax et j
50 1962, Arts, articles (1952-1965). Sartre contre l’Europe (17 janvier 1962)
104 92. Elle se termine en 1960 par la création d’une république souveraine et démocratique de plus de 2 millions d’habitants, dont le
51 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
105 épreuves, cette révolution a enfanté en France la république … Le peuple français a taillé dans un granit indestructible et posé au
52 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
106 a fortement aggravé la mise au pas des petites «  républiques sœurs ». Dans le même temps, l’Europe « décolonisait », non pas à cau
53 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
107 92. Elle se termine en 1960 par la création d’une république souveraine et démocratique de plus de 2 millions d’habitants, dont le
54 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
108 unités locales — vallées, cités, principautés et républiques — dont on sait la diversité non seulement de langue, de confession et
109 provinces françaises. 3° nous sommes de vieilles républiques — même Neuchâtel, en dépit de ses princes — fondées sur une large aut
55 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
110 tion des départements qui eussent formé autant de républiques distinctes, comme les cantons suisses… Cette calomnie propagée par le
56 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
111 n’a jamais pu se développer dans les royaumes et républiques marqués de l’empreinte calviniste, cependant que l’Autrichien Hitler,
57 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
112 provinces françaises ; 3° nous sommes de vieilles républiques — même Neuchâtel, en dépit de ses princes — fondées sur une large aut
58 1963, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Mais qui est donc Denis de Rougemont (7 novembre 1963)
113 ni une Europe des États, mais une association de républiques autonomes, libres de leur gestion intérieure et responsables les unes
59 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
114 mune législation… et subordination au corps de la république  ». C’est une Europe intégralement fédéraliste qu’il préconise, et son
60 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
115 mune législation… et subordination au corps de la république  ». C’est une Europe intégralement fédéraliste qu’il préconise, et son
61 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
116 un très grand nombre de royaumes, principautés ou républiques qu’il énumère, mais la Suisse n’est pas mentionnée : c’est un nom qui
62 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
117 Cette oligarchie fournit les avoyers (chefs de la république ), les hauts magistrats, les bannerets ou capitaines des milices, ains
118 illis gouvernant les pays sujets. Dans ces quatre républiques , le gouvernement est donc dès les débuts rigoureusement aristocratiqu
119 amentales entre les formes de gouvernement de ces républiques et celles des villes aristocratiques : mêmes dispositions restrictive
63 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
120 voient en lui le principe d’union de nos petites républiques , et cela dès les origines, encore qu’il soit demeuré longtemps tout e
121 s veulent ce que nous ne pouvons pas vouloir, une république fédérative au lieu d’une réunion d’États souverains… Avec une positio
64 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 1. Les institutions et la vie politique
122 . Celles qui passèrent à la Réforme devinrent des républiques entièrement autonomes, les autres demeurèrent longtemps dominées par
123 uisse. Les communes, les cités, les ligues et les républiques souveraines portaient en allemand le nom générique de Ort (littéralem
124 le Suisse moyen une réalité concrète, parfois la république pour la défense de laquelle ses ancêtres ont lutté contre d’autres Su
125 lle est en contraste frappant avec la coutume des républiques voisines, où l’on voit se former à chaque génération un personnel pol
65 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
126 us plusieurs régimes ; 3° Nous sommes de vieilles républiques fondées sur une large autonomie des communes ; 4° Le protestantisme e
127 sens originel. Certes, Calvin disait déjà : « La république est au collège. » Mais son collège était une école du chrétien, sa di
66 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
128 mune législation… et subordination au corps de la république  ». C’est une Europe intégralement fédéraliste qu’il préconise, et son
67 1965, Fédéralisme culturel (1965). I. « Toute culture est création de diversité »
129  » selon la formule jacobine reprise par les cinq Républiques françaises successives, non seulement n’a jamais été proposée par per
68 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
130 t de quelques hommes d’État, grands commis de nos républiques et de tout bord. Les phénomènes majeurs qui ont motivé ces prises de
69 1969, {Title}. L’esprit romand (années 1960)
131 squ’en 1848. Au sud, Genève, ville d’Empire, donc république indépendante promue par Calvin au rang de « Rome protestante », vient
132 e communauté entre ces cinq pays, principautés et républiques  : ce sont la Réforme (pour Genève, Neuchâtel et Vaud) et les liens de
133 l et Vaud) et les liens de combourgeoisie avec la république de Berne (pour Neuchâtel quoique francophone, pour Fribourg quoique c
134 politique (deux principautés, un pays sujet, deux républiques ). ⁂ À partir de la convergence décisive de 1848, un « esprit romand »
70 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
135 est-il du pouvoir impersonnel ? Le cas des quatre Républiques françaises qui étaient des pouvoirs impersonnels nous instruit grande
71 1969, Articles divers (1963-1969). Le personnalisme, la contestation, les hippies et… le fédéralisme (27 septembre 1969)
136 ni une Europe des États, mais une association de républiques autonomes, libres de leur gestion intérieure et responsables les unes
72 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
137 très souvent, une cité, une région ou une petite république se sont trouvées coïncider avec une de ces combinaisons plus ou moins
73 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Pronostics 1969 (une interview)
138 est-il du pouvoir impersonnel ? Le cas des quatre Républiques françaises qui étaient des pouvoirs impersonnels nous instruit. La pr
74 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). VI. Dubrovnik : assemblée générale annuelle de l’Association européenne des festivals de musique
139 tion politique : la Yougoslavie se compose de six républiques et de deux provinces autonomes, dont les rapports sont déterminés par
75 1977, Articles divers (1974-1977). Du passé à l’avenir d’une région (27 juin 1977)
140 à l’avenir d’une région (27 juin 1977)aj ak Républiques et principautés Pour donner une idée de la diversité des communaut
141 e communauté entre ces cinq pays, principautés et républiques  : ce sont la Réforme (pour Genève, Neuchâtel et Vaud) et les liens de
142 une principauté épiscopale31, un pays sujet, deux républiques …) L’esprit romand Cependant, à partir de la convergence décisiv
76 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 3. La clé du système ou l’État-nation
143 é » des premiers capétiens, « Hexagone » des cinq républiques successives, grands rectangles ou trapèzes tracés à la règle sur les
77 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 10. Passage de la personne à la cité
144  laïcisé », autant dire aboli, par le pouvoir des républiques successives. Mais passer du sacré catholique à « l’amour sacré de la
78 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 14. L’autogestion politique
145 ne décidément incompatible avec les exigences des républiques populaires socialistes et nationales à dictature militaire résolument
79 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
146 ité, parce que le canton de Vaud est l’une des 22 républiques qui forment la Confédération helvétique, mais il est d’abord Vaudois,
80 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
147 les tribunaux et les médias sous l’Empire, et les républiques , l’État-nation français a imposé un certain accent parisien à la cult
81 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
148 sance dans la partie russe demeure bas, celui des républiques asiatiques augmente sans relâche. Dans quelques décennies, l’URSS com
82 1979, Articles divers (1978-1981). « Nous subsisterons unis, ou nous périrons séparés ! » (avril-mai 1979)
149 d’ici à l’an 2000 par rapport aux populations des républiques islamiques dont le taux de croissance démographique oscille entre 3 e
83 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
150 autonomes urbaines et rurales groupées en petites républiques oligarchiques ou populaires, principautés épiscopales, voire hérédita
84 1981, Articles divers (1978-1981). La Suisse face au danger de guerre : « Je suis un pessimiste actif » (4 mars 1981)
151 qui joue en défaveur des Russes et en faveur des républiques asiatiques. Il peut en résulter un jour des déséquilibres intérieurs
85 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
152 st continué en partie dans la Vienne de la petite république autrichienne. L’Empire austro-hongrois ne pouvait pas avoir de cultur
86 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
153 chaux protestants, ont été bien près de créer une république fédérale du Midi. Le mot huguenot n’est vraisemblablement qu’une défo
87 1982, Tapuscrits divers (1980-1985). De l’unité de culture à l’union fédérale de l’Europe (18 octobre 1982)
154 tribunaux et les médias sous l’Empire et sous les républiques , l’État-nation français a imposé un certain accent parisien à la cult
88 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
155 é, de « la puissance absolue et perpétuelle d’une république  », qui n’appartient qu’au prince et non aux magistrats élus pour un t
156 Estats (et trois seulement) ou « trois sortes de républiques , à savoir la monarchie, l’aristocratie et la démocratie : la monarchi
157 is aux ministres des trois monarchies et des cinq républiques qui ont tenu son rôle en France jusqu’à nos jours), cet État pourrait
89 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
158 aborateurs — cinq présidents et ex-présidents des républiques d’Italie, de l’Allemagne fédérale et de l’Autriche, trois ministres d
90 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
159 conomie européenne et, bien plus que ça, vers une république européenne, qui a toujours été le rêve et l’idéal des grands esprits 
91 1988, Inédits (extraits de cours). « L’heure est venue. Allons-y » [préface d’Alexandre Marc]
160 absolue, colbertisme, jacobinisme, bonapartisme, république une et indivisible — et j’en passe —, tous ces termes, apparemment di
92 1988, Inédits (extraits de cours). État-nation
161 r Bodin, au sommet de l’existence politique de la république , il y a la justice, dont l’interprète est le souverain, au service du
93 1994, Articles divers (1982-1985). URSS (1994)
162 1924 Elle traduit la formation de l’Union des républiques socialistes soviétiques, ou URSS, proclamée en 1922. Elle définit l’É
163 peuples égaux en droits », ouvert « à toutes les républiques soviétiques qui pourront naître ». Elle est formée au départ de quatr
164 ont naître ». Elle est formée au départ de quatre républiques  : Russie, Ukraine, Biélorussie et Fédération transcaucasienne (qui co
165 aïdjan, l’Arménie et la Géorgie). Elle comptera 6 républiques en 1924, 7 en 1929, 12 en 1936 et 15 ensuite. Le Comité central exécu
166 e 1936, intitulée Loi fondamentale de l’Union des républiques socialistes soviétiques et couramment appelée « Constitution de Stali
167 sur l’Organisation de l’État définit l’Union des républiques soviétiques socialistes (art. 13) comme « un État fédéral constitué s
168 tué sur la base de l’union librement consentie de républiques soviétiques socialistes égales en droit. » Suit l’énumération des 11
169 stes égales en droit. » Suit l’énumération des 11 républiques qui constituaient la Russie des derniers tsars, à quoi s’ajouteront e
170 22 à 29 détaillent les subdivisions de plusieurs républiques fédératives en territoires, régions, régions autonomes et républiques
171 ves en territoires, régions, régions autonomes et républiques socialistes autonomes. On peut voir là l’un des aspects les plus préc
172 itent une mention spéciale : — art. 17 : « Chaque république fédérée conserve le droit de sortir librement de l’URSS ». — art. 20 
173 t. 20 : « En cas de divergence entre la loi d’une république fédérée et la loi fédérale, c’est la loi fédérale qui joue ». Ici enc
174 du Soviet suprême, ses 15 vice-présidents, un par république fédérée, le secrétaire du Présidium et 24 membres du Présidium. » Sel
175 pour les Organes supérieurs du pouvoir d’État des républiques fédérées une structure qui reproduit fidèlement celle de l’URSS. Le c
176 État (chapitre VIII) reflètent les structures des républiques fédérées et des républiques autonomes, aux échelons des « régions, ré
177 nt les structures des républiques fédérées et des républiques autonomes, aux échelons des « régions, régions autonomes, arrondissem
178 de tous les organes judiciaires de l’URSS et des républiques fédérées » donné à la Cour suprême de l’URSS. Plus original est le ch
179 tter librement l’Union » est maintenu pour chaque république fédérée, mais tout comme les droits garantis aux citoyens, il est sou