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oncepts alors se combinent selon des affinités ou
répulsions
que les faits ou les êtres qu’ils sont censés représenter n’ont pas d
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accompagné de sentiments « humains », admiration,
répulsion
, pitié, etc. En somme, tout se borne à une certaine « sympathie » (so
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oncepts alors se combinent selon des affinités ou
répulsions
que les faits ou les êtres qu’ils sont censés représenter n’ont pas d
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accompagné de sentiments « humains », admiration,
répulsion
, pitié, etc. En somme, tout se borne à une certaine « sympathie » (so
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aisi par la flamme de l’émotion collective. Cette
répulsion
et cette attraction aboutissent au même résultat : elles amènent l’ho
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spiré par les grandes émotions collectives. Cette
répulsion
et cette attraction jouent dans le même sens. Elles poussent l’homme
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spiré par les grandes émotions collectives. Cette
répulsion
et cette attraction jouent dans le même sens. Elles poussent l’homme
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spiré par les grandes émotions collectives. Cette
répulsion
et cette attraction jouent dans le même sens. Elles poussent l’homme
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spiré par les grandes émotions collectives. Cette
répulsion
et cette attraction jouent dans le même sens. Elles poussent l’homme
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pts alors se combinent selon des affinités ou des
répulsions
que les faits ou les êtres qu’ils sont censés représenter n’ont pas d
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accompagné de sentiments « humains », admiration,
répulsion
, pitié, etc. En somme, tout se borne à une certaine « sympathie » (so
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elque sorte le ludion, — jouet de nos pulsions et
répulsions
— autant que l’agent démoniaque ; et là-dessus La Part du diable a
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r l’esprit mal fait : j’ai peine à partager cette
répulsion
. C’est que le style de Goethe m’importe davantage que celui du dernie
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a circulation sanguine, ou que l’attraction et la
répulsion
à l’animation de l’énergie nucléaire, des courants électriques, de la
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nances ne sont pas arbitraires. Ils expriment des
répulsions
humaines. Supprimez des obstacles extérieurs et vous créez des obstac
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a circulation sanguine, ou que l’attraction et la
répulsion
à l’animation de l’énergie nucléaire, des courants électriques, de la
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désir et de l’angoisse, de l’attraction et de la
répulsion
, de l’indifférence affectée et de l’affectivité refoulée. Ils n’ont p
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on permanente entre des forces d’attraction et de
répulsion
. Là encore, supposez qu’un équilibre statique s’installe : c’est la m